(texte manuscrit – du 27 juill. 2018 à 17h00)

—> 1. « İl », intermède… : 44. [af T] il ne peut s’empêcher…
—> en entête, élargir la narration des labeurs, certains points seront à développer…

Effectivement, « la vie ne repasse pas les plats » (réf. (??)). Combien ont eu une existence heureuse et confortable ? Si nous ne parlions que de l’humanité, la plupart ont vécu, vivent et vivront une existence pénible et sans intérêt ; toujours à être dominés par une minorité de chanceux que la vie favorisa par des hasards avantageux. Le sort de la plupart des êtres n’est pas enviable (regardez autour de vous, ne vous masquez pas les yeux). Le coup du sort est une loterie peu élégante et d’aucune délicatesse. Nous-mêmes faisons subir ou avons subi de pareils désagréments ; toutes existences confondues, le sort de tous est régulièrement à peu près le même : un gâchis épouvantable d’énergie (réf. phénomène d’entropie) (le vivant se perpétue dans un entre mangements perpétuels, la plupart servent à nourrir les autres ; et même les autres à un moment ou un autre, juste après leur mort, seront absorbés sans le vouloir [réf. (??))). Pour tout éprouver, la vie dans ses explorations varie sans cesse. Alors oui, nous confirmons, « la vie ne repasse pas les plats » et chacun ne vit qu’une fois (c’est largement suffisant).

Mais à chaque fois, ce sont les montages différents d’une même entité, sans cesse en évolution, d’individu à individu conçu à partir des mêmes briques, mêmes constituants (fourni par le moule de base, les plans de fabrique, un programme génétique, un code, un déterminisme sous-jasant…) ; chacun ajoutant une petite variation au bout des dents, dans le clignement de l’œil ou la couleur d’une peau perpétuellement changeante, selon que l’on naisse en Orient, en Occident, du nord au sud, ces diverses variations… Vous disiez quoi déjà ? Ah oui ! le mouvement (d’un labeur non aimé, juste pour avoir le droit de vivre…). Tu t’arrêtes et refuses, d’accord, mais dans ce cas tu meurs (de faim, d’une balle dans la tête, dans une prison après avoir dérobé un bout de pain) ; il est intransigeant ce monde peuplé de vivants.