Redéfinition (ou dire autrement) : Source(s) des expressions (le mécanisme), la provenance de l’information, sa manifestation, la trace laissée, de comment vient l’inspiration, le discours, les influences principales, régulières, résumées par des termes approchants (l’idée est là), la parole change selon le contexte…
—> voir le détail des nouvelles définitions dans [ les acteurs réguliers des récits ] bis, du lexique des termes spécifiques à la narration
Signatures de la provenance dominante des racontements (indication laissée dans l’entête de chaque récit sur le site webeux uniquement) (pour voir comment ça fait) :
- redactio scriba (le déterminisme poussant à la rédaction d’un ouvrage, quel qu’il soit)
- scriba (le scribe de « İel »)
- «
İpanadrega» —> « İl » —> « İel » —> ∞ (le terme évolue au fil du temps, personnage emblématique, pour voir comment ça fait) vieux singehominida (savant ou non, sage, ermite, vagabond, vieux singe, ♂︎♀︎…)- robote machina (des outillements du vivant, du minéral que l’on agite)
- la chose, le truc, le machin (indéfini, immanent, divinité pour les uns, un déterminisme inconnu pour d’autres, dimensions parallèles non perçues, monde indéterminé, à l’infini… à désacraliser)
- autrui (altérité, discours de l’autre)
- inconnu (et par conséquent innommé)
- symbiota, sumbiōsis (discours, échange, dialogue symbiotique, sous influence décelable au moment où il est prononcé)
- archives, comme les archives de réminiscences, peu importe leur origine, elles s’ajoutent au récit ambiant, la trace, l’information parasite ou ressource dont on ignore la provenance, etc. ; comme un fond diffus cosmique rayonnant de partout, absorbé par le vivant, jusque dans les gènes, la trace d’une évidence (ce qui va de soi), un simple « bon sens » n’a pas besoin qu’on l’estampille d’un prétendu « auteur » source (logique floue), encore moins d’un géniteur « humain » ; le monde, l’univers, l’immensité des choses nous construisant nous apportent ces archives, ce serait un « auteur » universel, et « innommé », d’où les termes évasifs : « la chose, le truc, le machin » pour les mettre en action… (attention au mythe !)
Il manque toujours quelque chose (6.), cet inconnu (8.) qui nous titille l’esprit comme le corps et nous pousse à des agissements ; c’est constamment fugitif, un entendement, une perception mêlée de crainte ou d’adoration, voire de défi ; cela recherche au-dedans de vous (9.)(10.), et n’y peut rien, la plupart de tous… (cette phrase est étrange ? Quelque chose te dit « ne touche plus à rien »)