(parole en marchant - 10 mai 2018 à 16h20)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 151. réminiscences oniriques de l’enfance, supplique

Mais quel est donc ce tourment dont tu nous abreuves tant ; tu sais, à force, c’est assommant… de ne distinguer des tourments des tiens des nôtres, quand on additionne cela fait une somme trop importante ; il faut élaguer le tourment (minable)… Élague donc ton tourment…

(à voix basse)
C’est marrant… (chant du Coucou au loin), cet amoncellement de bois mort… à côté d’un beau chêne… ouais, marrant…

(parole en marchant - 10 mai 2018 à 17h55)

C’est dans ce processus d’élaboration (de réalisation), d’évidement, de fatigue du corps à travers des marches obstinées, que l’élaboration se fait ; ce n’est pas dans l’ingurgitation de nourritures où le corps s’essouffle et se sclérose et s’engouffre dans une pénurie de l’entendement, c’est l’inverse ! C’est dans l’abstinence que le corps exulte !

(ajouts du 7 août 2018 à 10h40)
Rien de nouveau à ce sujet ; de cela, beaucoup l’ont compris, mais des anges funestes au marketing nauséabond, vous prétendent le contraire, afin de vous vendre des affaires à l’intérêt douteux, un accaparement de plus à votre entendement corrompu.