(texte manuscrit - 26 juin 2018)
—> dans un discours ou un dialogue brutale !
Du discernement de la finance.
Disons les choses en face : elle ne sert à rien, sinon servir les intérêts de quelques-uns, ce serait à peu près tout, si d’aventure cette caste nauséabonde ne menait l’humanité vers un chaos inexorable et sans victoire d’aucune sorte (sinon un déclin…).
De financiariser le vivant, comme on le fait pour les cultures vivrières, mène le moindre paysan à le raisonner que pour de l’argent et sa survie propre, alors que sa tâche depuis dix mille ans que l’agriculture se pratique chez les hommes, il s’agissait de se nourrir au mieux (nourrir toute une population).
La première raison d’une culture, me semble-t-il, serait de ne penser qu’à produire une alimentation saine à un coût « énergétique » raisonné et non ne fixer une économie basée sur une rentabilité financière (exclusive).
La qualité du produit devrait être première et non dernière (comme c’est le cas aujourd’hui).
Le but est de se nourrir et non de rentabiliser l’actionnaire semencier ou le marchand de pesticides (souvent les mêmes) : il semblerait bien que ce soit pour la plupart « des assassins ». Appelons un chat, un chat ! Ils ont tué la paysannerie de nos pays en tuant la biodiversité de la nature, celle-ci nous permet encore de vivre ; combien de temps nous reste-t-il avant le coup de massue finale de notre déclin ?
La nature survivra elle se perpétue toujours, nous, non !