(texte manuscrit – 22 mars 2018)
—> 3. « singes savants », des descriptions très détaillées :
Reprendre un récit de description détaillée classique et refaire la description comme une vision extérieure neutre non humaine (comme avec des yeux neufs).
Du point de vue de la mousse, du lichen, du mycélium, de l’arbre, du clan bactérien, de l’oiseau, de la fourmi, du robote…
Analyse du fait avec les émotions de chacun (imaginez une émotion d’un ver de terre ou d’une mousse ?)
Le fait émotif, la secte se révèle être le fondement de tous les romans humains. Sans affect, une pièce de Shakespeare théâtre (dramatique, comique…) n’est rien. La rédaction émotive est au cœur de nos échanges.
—> Une réaction homéostatique, une régulation
—> je saisis l’information —> est-ce un bien pour moi ou que puis-je en extraire pour une persistance ?
—> élimination des éléments non concernés : pas d’apport nutritif, pas de risques d’atteinte à ma structure, ne reçoit pas d’informations collaboratrices, d’échange, ne laisse qu’une information de mouvement autour de ma structure, trouver une perturbation du lien (lieu ?) avec la racine terminale supposée (?) et le mycélium du voisin (réf. ?). Tenter de reconnecter la liaison antérieure… etc.