(parole en marchant – 14 avril 2019 à 13h35)
—> note
—> voire insérer « Entre deux bouteilles de flippe et de boue »
Insérer dans ces parcours débutants, le texte des années 80 dont j’ai oublié le titre (« Entre deux bouteilles de flippe et de boue »), en partie en forme de rap, avant même le rap, où je parle de « Lou ».
(parole en marchant – 14 avril 2019 à 13h39)
—> à insérer avec « Entre deux bouteilles de flippe et de boue »
—> 1. « İl », peregrinatio, livre 1 : 66. essayer sa voix…, « il avait imaginé cette prose rythmée… » (ajout)
Il avait imaginé cette prose rythmée avant même que ce fût l’usage, dans les temps nouveaux. Cette mécanique où l’on montre du doigt l’écoutant, en guise d’accusation, celui qui t’écoute, on le montre du doigt ! Eh sous un rythme très soutenu, on l’accuse de tous les maux, si tu ne penses pas comme lui (eux ?) ; lui, l’a fait différemment, il a osé user d’une poésie, malgré qu’on lui dise, « ne poète pas plus haut que ton cul ! » Il se répétait toujours, mais que peut-on être, si à chaque fois que vous choisissez (une allure) certains vous critiquent et disent « ce n’est pas bien ce que tu fais, tu n’es pas fait pour ça, tu dois être pauvre, de toutes idées à toutes entrefaites, tu dois courber l’échine et ne pas être toi-même ; laisse aux autres, les chefs, les gourous, le soin de t’alpaguer quelques idées, hum !… de t’alpaguer de quelques idées, pour que tu penses de leur manière, comme celle du groupe et de son chef, qu’il soit politique, musical, médical, tous les “cal” que vous voulez ! » Enfin, dire que l’on radote serait une meilleure façon de vous l’amener ; eh, où veulent-ils donc en venir dans cette façon de nous entretenir, hein ! dites-le-nous ? L’oiseau abonde, il a bien raison…