(texte (??) - 16 avr. 2016 à 11h24)
(original)
De la transformation d’un récit en partant de la forme originale que l’esprit a donnée sous une forme manuscrite et désordonnée.
Toutes les étapes de la transformation de la forme originale à la forme définitive, nous montre que si la phrase initiale est souvent le prélude à l’inspiration du reste, des dérives de mise en forme vont être soumises au bon savoir, à l’expérience de la vie, et tout le reste que notre mémoire y apporte ; va, par notre bon désir et l’énergie à vouloir cela, permettre de donner une touche finale à l’écrit désiré et pour ainsi dire le terminer.
De la première inspiration à la retouche finale, comme c’est le cas ici pour « une fuite sauvage », 40 années se sont écoulées ; comme quoi la persévérance, si elle peut être aussi écourtée, peut néanmoins nous donner, à force d’effort, pour ce qui concerne cet écrit-là, dans sa forme finale, nous paraitre relativement satisfaisante.
Même si ce que je dis ici peut sembler insignifiant et inutile, il permet à mon esprit, en la matière, à formaliser toutes les manières possibles d’un « dire » et d’affirmer ici, qu’une forme écrite, en faite, n’est jamais tout à fait définitive, elle ne le devient véritablement qu’à la mort son auteur.
Tout comme en peinture, la variation des formes sur le modèle ou le sujet, représentée par une série de tableaux, par exemple, la cathédrale de Rouen peinte par Monet ou ces portraits rapides (et forts nombreux) d’une même tête de femme par Picasso, sont des exercices de « style » forts réjouissants.
Cela nous montre enfin, que peuvent coexister différentes interprétations possibles, et des variations sur un même sujet, un écrit, une photo ; différentes manières de vivre d’une même population, qu’elle soit homme, oiseau, fauve, reptiles, insectes, microbes, atomes, toutes ces répliques ont en commun une similitude répétée, mais chacune ont d’une manière unique cette petite différence qui les distingue des autres, apparemment similaires, mais cohabitant, cette petite différence que l’on appelle la personnalité, ou la différenciation de l’être d’un autre être, son la démonstration que nous montre le vivant, à travers son extrême diversité, ces extrêmes variations, permanentes et systématiques, non fixées dans le temps, évoluant sans cesse, nous montre enfin, qu’une forme si elle se fige, meurt. Le monde du vivant n’est que variation !
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(version)(terminer correction)
De la transformation d’un récit en partant de l’originale, celle que l’esprit donna sous une forme manuscrite et désordonnée.
Toutes les étapes de la conception, du début à la fin, nous montre que si la phrase initiale est souvent le prélude à l’inspiration du reste, des dérives de mise en place vont être soumises au « bon » savoir, à l’expérience de la vie, et tout le reste ce que notre mémoire y apporte ; va, par notre bon désir et l’énergie à vouloir cela, permettre de donner une touche finale à l’écrit désiré et pour ainsi dire le terminer.
De la première idée à la retouche de dernière minute, comme c’est le cas ici pour « une fuite sauvage », 40 années se sont écoulées ; comme quoi la persévérance, si elle peut être aussi écourtée, peut néanmoins nous donner, à force d’effort, pour ce qui concerne cet écrit-là, dans sa forme finale, nous paraitre relativement satisfaisante.
Même si ce que je dis ici peut sembler insignifiant et inutile, il permet à mon esprit, en la matière de formaliser toutes les possibilités d’un « dire » et d’affirmer, qu’une forme même imprimée, en faite, n’est jamais tout à fait définitive, elle ne le devient véritablement qu’à la mort son auteur.
Tout comme en peinture la variation sur le modèle ou le sujet, représentée par une série de tableaux, par exemple, la cathédrale de Rouen peinte par Monet ou ces portraits rapides (et forts nombreux) d’une même tête de femme par Picasso, sont des exercices de « style » forts réjouissants.
Cela nous montre que peuvent coexister différentes interprétations possibles, et des modulations sur un même sujet, un écrit, une photo ; différentes manières de vivre d’une même population, qu’elle soit homme, oiseau, fauve, reptiles, insectes, microbes, atomes, toutes ces répliques ont en commun une similitude répétée, mais chacune ont d’une manière unique cette petite différence qui les distingue des autres, apparemment similaires, mais cohabitant, cette petite différence que l’on appelle la personnalité, ou la différenciation de l’être d’un autre être, son la démonstration que nous montre le vivant, à travers son extrême diversité, ces extrêmes adaptations, permanentes et systématiques, non fixées dans le temps, évoluant sans cesse, nous démontrent enfin, qu’une forme si elle se fige, meurt. Le monde du vivant n’est que variation !
