(texte manuscrit – date d’aujourd’hui, 24 oct. 2019 à 18h50)
—> le détachement, 190. de la transcription et de l’évitement de cette tâche…
Le scribe n’en peut plus
Merci bien ! La diffusion fut parfaite, le monde était austère, mais tout allait bien, il suffisait de s’adapter à quelques velléités de l’air que je n’appréciais pas. Vous le savez bien, certains, quand l’on diffuse quelques fumées nauséabondes sous leur nez agacé et trop raffiné pour une pétulance de passage, pour un vent, celui de ce monde austère, nous le disions tout à l’heure, leur envoya ce fumet dans leur narine délicate. Une pétulance, vous savez, ce n’est pas l’air du temps, ce n’est qu’une digestion hasardeuse après l’ingestion d’un mets approximatif, des milliards de bactéries digestives n’en pouvant plus furent obligées de dégazer assidûment la matière absorber, c’est tout ! Attention, vous risquez la flamme !
Eh, vous voudriez que je mette au bout de cela un texte, fût-il manuscrit, pour vaincre votre maladif ennui ?
Vous tentez une expression nouvelle, pour vous dérober devant la tâche énorme qui vous attend, traduire cet énorme fatras de vieilles idées annotées là, dans ce fouillis paperassier mal classé, usé par le temps, un papier à l’acidité bien présente, peu à peu il est mangé par cette avarie du temps ! Bientôt, il n’y aura plus rien à transcrire, tout sera rongé, il te reste peu de temps !
Ah, mais la machine translateuse ne connaît pas tous les termes prononcés, elle les écrit approximativement et tu dois sans cesse corriger sa maladroite transcription, elle est loin d’être parfaite la machine !
(à adapter)