(parole en revenant du bois – 27 juin 2020 à 19h38)
—> ajoutements, de l’auteur et du scribe
—> durée : 1’30
(redite probable, à vérifier ?)
Quant à l’auteur, ce qu’on appelle l’auteur dont le terme est inapproprié (ici) ou du moins le sens qu’on y a mis, il n’est qu’un passeur de mots, il passe les mots qui le traversent, il passe les sensations qu’il sous-tend, euh… qu’il éprouve, et converti en mots ; c’est tout ce qu’il fait ! Eh, quant à l’origine (aux origines) de ce qui provoqua les mots qu’il exprima, elles ne sont pas de son invention, elles n’ont… ce ne sont que du passage qui opéra au-dedans de lui, c’est ça la nuance et la définition plus exacte à mon sens de ce qu’est « un auteur », dont je n’utiliserai que le terme dorénavant, de « passeur de mots » ou « passeur de sens », qu’il transforme en mots, comme vous voudrez ! Trouvons un mot plus adéquat pour transformer le sens originel du mot « auteur », un terme synonyme qui exprime le même individu, mais en le définissant d’une autre manière…
(ajout du 22 juill. 2020 à 20h30)
En gros, le véritable auteur dans tout ça, c’est le vivant, dans son entier, parce que rien n’est à dissocier, tout est lié ! Et nous ne faisons que rapporter les expressions d’une inspiration qui passait par là : un scribe, seulement !
(à développer)