(texte (??) - 27 déc. 2017 à 13h38)

Contexte : à propos du droit que l’on prend, à aborder des sujets que votre rang dans la société et votre éducation ne vous autorise pas à avoir un avis sur la question, n’ayant pas les « titres » ou « accréditations » voulus. Le risque que prennent les usurpateurs aussi ; mais là, il s’agit des choses de l’esprit, la permission est donnée du bout des lèvres…

« Nous qui n’avons pas de titre »

« Nous n’avons pas cette qualité officiellement admise ni ne possédons une quelconque accréditation à prétendre philosopher ainsi, à penser comme des initiés, des universitaires, faisant autorité sur les mémoires acquises, alors pour qui nous prenons-nous et comment peut-on oser intellectualiser sur des sujets aussi pointus, c’est que nous ne sommes pas de leur clique, nos propos seront donc réduits et atténués, voire sans mérite, oui, une cause, une seule, ne pas être membre de leur caste, devenant dès lors l’indigent, le roturier de passage, c’est selon que l’on vous classe dans un sac ou un autre… »

(ajouts)

« On pourrait exprimer une revanche, une vengeance, un mépris, défier ce qu’on vous dit ! »

« Les zommes sont ainsi faits, il méprise la plupart du temps celui qui n’est pas comme eux… »