(paroles du matin – 21 nov. 2020 à 7h48)
—> [philosophia vitae] s’habiller de matières
—> durée : 3’26
(il manque des mots entre les interstices ?)
Et puis soudain, il s’habilla de matières et prit l’apparence qu’il désira ! Prendre, au-delà de toute envie… Une autre chose nouvelle est à considérer ; c’est de la chose qu’il prit ainsi l’apparence, s’anima. Il avait la faculté de la faire se mouvoir, se bouger, c’était nouveau dans les considérations de ce monde si beau. Puis, à force de prendre ainsi le pas sur une matière divergente, qui, dans sa mouvance, se diversifia, il fallait échanger quelques informations, entre les différentes variations qui s’ingénia (s’ingénièrent) autour de lui. Il ne cessa de se dédoubler, le truc, le machin, la chose, où rien encore n’était nommé. Cela prit du temps, et de quelques manières, divergea vers d’autres considérations ; l’idée d’une mouvance, ainsi, était née !
(version où l’on tente de combler les vides, entre les mots et les sens…)(ajout du 26 déc. 2020 vers 10h)
Et puis soudain, il s’habilla de matières et adopta l’apparence qu’un désir initia ! Accaparer les espaces où l’on découvre des illusions vides, au-delà de toute envie… Une autre chose originale est à considérer, c’est l’allure des pourtours de cette chose qu’il imprégna, elle montrait d’inédites protubérances, favorisant quelques déplacements, c’est ainsi que l’apparence s’anima. Il avait la faculté de la faire se mouvoir, à adopter un bougé si soudain, c’était nouveau dans les considérations de ce monde si beau (appréciation apportant une humeur stabilisatrice). Puis, à force de prendre ainsi le pas sur une matière divergente, qui, dans sa mouvance, se diversifia, il fallait échanger quelques informations entre les différentes variations possibles, des éloignements irrépressibles ; ce fut l’idée d’une duplication née d’un accident fortuit, un hasard ennemi, qui s’ingénia donc autour de lui ? Il ne cessa de se dédoubler, comme un principe nouveau, le truc, le machin, la chose, là où rien encore n’était nommé. Cela occupa de nombreux espaces avec le temps, et de quelques manières divergea vers d’autres considérations toujours plus subtiles, comme si l’on appréciait ces variations ; l’idée d’une mouvance, ainsi, était née ! À cause de ces duplications incessantes, à quoi devait-on cette manigance ?
…
(paroles du matin – 21 nov. 2020 à 7h52)
—> durée : 3’15
(il manquait des mots entre les interstices, on en a ajouté entre parenthèses)
Il fallait bien que quelque chose (de cet ordre) commençât, pour qu’un jour une entité telle que moi (apparaisse, elle) vous récitera tout ceci ; l’idée était au long cours, et (annonçait) que parfois l’on s’imagine des détours dans le langage qui survient ; les détours sont chaotiques et l’on ne sait d’où l’on vient, c’est pathétique !
Tu as crié, « prends garde ! » Ne t’imagine pas, dans des détours (méandres) incongrus, détenir une vérité auquel (à laquelle) tu ne crois pas au fond de toi. Certes, le monde vaut le détour tel que tu le vois (ou que tu le considères), mais quand il s’écroule, se contamine par inadvertance, tu as une drôle de mine. Il faudra bien un jour que tu meures (te disloquer en conséquence et ne laisser que quelques traces pour seul mémoire)…