(ajout du 23 janv. 2021)

Les préalables nous éloignaient du récitement central (premièrement, etc.), les préambules nous en rapprochent, ils expriment les cheminements qui se sont imposés, de multiples erreurs, renoncements, variations et corrections, ont sans cesse perturbé et enrichi l’écriture des récits…

(ajout du 4 janv. 2021 vers 15h)

Voilà, on imagine qu’après tous ces préalables, un récit puisse naître ? Il est temps de mettre en place les prémisses à un véritable racontement ; mais pour ça, inévitablement, survient la nécessité de discutailler le bout de gras avec le scribe momentané que le coup du sort a choisi sans l’illusionner ; cela occasionne immanquablement de préambuler savamment afin de préluder à l’histoire, de tenter d’en discerner ce qu’en furent les prémisses, avec des redites et des doutes sans doute (agaceries pour certains, amuseries pour d’autres, joie d’enfance retrouvée pour l’exécutant).

(parole de la nuit – 6 déc. 2020 à 0h17)

—> livre des préalables ou préambulages savants (début livre des préambules)
—> durée : 27’22

(entrainement, tentative presque vaine… beaucoup de mots furent oubliés, il fallut en ajouter pour combler ce vide d’une pensée incomplète)

Maintenant qu’un monde existe et que tous ces préalables se sont accomplis, pour qu’une histoire, nous puissions raconter… eh, celle-là même où le scribe… ou un scribe fut rencontré pour qu’il la raconte et la déverse comme il pourra…

Toutefois, pour de (multiples raisons, au sujet de) l’histoire proprement dite, ils tournèrent tout autour du pot suffisamment en de multiples préambules préparatoires au racontement ; c’est ce que (qui) se raconte (dans) ce second livre… illusoire, inutile, rabâchant toujours la même chose en de multiples variantes, ces propos sont laissés comme un amusement, ils préludent à une histoire ayant existé… ayant été déjà visité. C’est un amusement d’une élaboration totalement inutile, certainement, mais laissée là pour la commodité de l’ouvrage…

[D’abord, toute une suite de préambulages secondaires, du 10 août 2019 au 25 sept. 2018, masquait la vue, ils ont été déplacés dans les ajoutements (« autour et sur le récit ») à des fins documentaires ; n’ont été laissés ici que ceux qui semblaient marquer une étape, dont la plus notoire correspond au 17 juillet 2018 — d’ailleurs, « ce jour pourrait suffire à tout décrire, mais les autres voudraient s’enfuir ou lui nuire, il vaudrait mieux tous les lire », dirait l’indécis, on lui laissera quelques récits, ajoutés en bis repetita pour le souvenir…]