(parole entre deux sommeils – 10 févr. 2022 à 2h02)

—> préalable en forme de mythe
—> durée originale : 3’18 ; durée après retouches :

(il racontait, avant de partir, quelques informations au creux de sa dérive où il surnage encore un temps)

Ah oui, au-dedans de l’ouvrage, il y a un grand secret, je le pressens ! Mais ce secret n’est pas de moi, il transparaît à travers les écritures, ou je ne sais quoi ? Ce secret, je l’ignore ! Mais je sens sa présence, à vous de le découvrir, si ça vous tente.
Est-ce un mensonge, une nouvelle histoire, je n’en sais trop rien ; eh, ce qui nous a fait noircir ces milliers de pages, ce n’est pas pour rien ; le mystère se situe à cet endroit, probablement ? Je suis trop vieux pour chercher à le comprendre ou le découvrir, je n’ai fait que le placer sans m’en apercevoir, probablement ? Ou alors, il n’y a pas de secret, et je le sais (saurais) trop bien, et je n’ose me l’avouer, ce qui se trame au-dedans de ces récits que je ne comprends plus guère. Je m’en détache peu à peu et à l’heure où j’écris ceci… je dis ceci, « je ne suis pas sûr d’arriver à finir les corrections, trop d’embarras, trop d’ennuis, trop de désordre autour et au-dedans de moi m’empêche, cette assiduité nécessaire pour terminer l’ouvrage comme il se devrait ; alors vous finirez si ça vous chante, cela m’est bien égal ».
Au creux de l’ouvrage, il y a un lourd secret !
Est-ce le secret de toutes les histoires que l’on raconte, je n’en sais rien ? C’est ce que je pressens, ce que je ressens ; à vous de le découvrir, ce secret que j’ignore…