(parole entre deux sommeils – 9 mai 2021 à 0h19)
—> [philosophia vitae] [interview] comment expliquer à ses progénitures, la raison d’être de ce qui les anime ?
—> durée : 1’35
(Étude procaryotique [durée estimée à quelques milliards d’ans], ou description de la manière de faire [supposée] des procaryotes, quand ils élaborent des eucaryotes et les font naître, vivre et mourir ; ou disons-le plus précisément : la raison d’être du processus, celui qui élabore le vivant, cette animation qu’il engendre et la hiérarchie des êtres nécessaires à chaque construction, à partir d’une élaboration unicellulaire, engendrer une complexité multicellulaire, l’expérimenter, en la faisant naître, vivre en l’éduquant, apprendre et toujours mourir à la fin du processus, pour laisser la place à d’autres variations, comme un effilement de boucles sans fin…)
(interview de Luca, une Procaryote antédiluvienne) (à compléter)
Alors voilà le processus ! Euh… tout ce que l’animal à capter, ingurgiter, perçu, est amalgamé dans votre cervelle, en quelque sorte, dans tout ce qui vous compose et vous le régurgitez à votre manière, c’est la façon dont vous allez régurgiter tout ce que vous avez vécu emmagasiner, mémoriser, euh… que nous allons étudier « pour voir comment ça fait » de vivre ce que vous avez vécu, de faire ce que vous avez fait. C’est cela la raison de notre étude, et pas autrement. Comment voulez-vous ? Il faut bien que l’on expérimente pour voir où nous irons, là où c’est probable, où c’est possible d’aller ? Voilà toute la question… que se donnerait (qui se formulerait) en… sa mémoire centrale… ingurgiter lui aussi, le robote, il ferait de même, avec une petite différence notable, à décortiquer plus tard…
(à la fin, l’information est fragmentaire, incomplète… rendez-vous compte, une interview faite à soi-même éternellement ∞)
…
(parole entre deux sommeils – 9 mai 2021 à 0h29)
—> (note) faire le point ! (temporalité)
—> durée : 2’47
(le vivant premier s’interroge, sur ce qu’il reste à faire et dans cette affaire, il y glisse un gène malicieux pour les engeances de sa suite, qu’elles égrènent sans cesse des interrogations à ce sujet afin qu’il n’y ait jamais de fins, mais des suites, c’est malin !)
Ce qu’il reste à corriger ?
Récit zéro : rien, pour l’instant, des détails…
Récit un : la définition du terme (le titre qui est expliqué) dans « peuple innommé », manque de précision ; ou du moins, la traduction donnée mérite quelques améliorations…
À déterminer dans la suite des volumes, si les remerciements sont ajoutés à chaque fois ?
Où simplement stipulés ? Essayer (après la) description des récits… ensuite, remerciements sur le premier volume zéro, sur les autres volumes remercier succinctement avec renvoi au volume zéro, laisser à chaque fois le copyright désuet…