(parole en marchant – 26 mai 2017 à 19h02)
—> 1. « İl », peregrinari, livre 2 : 75. [o L] sur le chemin
—> à relier aux autres textes sur le sujet
Pendant longtemps, un papillon blanc vola à côté de lui l’accompagnant tout le long de son chemin, il suivait la même direction vers des lendemains incertains…
(ajouts)
Il comprit pourquoi plus tard, il transportait avec lui une nourriture que ce papillon adorait, cet aliment émettait une odeur (des phéromones) qu’il détectait, il restait patient, il attendait qu’İl la sorte et qu’il lui en laisse un peu après chaque repas, et comme ce dernier ne réagissait pas pour le tuer ou l’écarter, le papillon et lui s’étaient habitués mutuellement à cette cohabitation…
(Il comprit plus tard pourquoi ce papillon le suivait : il transportait avec lui une nourriture que ce dernier adorait, cet aliment émettait une odeur particulière (des phéromones ?), le lépidoptère restait patient en attendant à ses côtés, espérant qu’on lui en laisse un peu après chaque repas, et comme le voyageur ne réagissait pas pour le tuer ou l’écarter, il s’était instauré mutuellement entre eux une cohabitation pacifique…)