c’est quoi la finance (parole en marchant – 19 avr. 2017 à 17h34)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 113. [F] économiste, c’est quoi ta finance ? (discours de lui…), c’est quoi la finance…
—> propos militants à mettre en bouche…

(note, au moment de l’ajout : une jeunesse s’enflamme et c’est un vieillard qui écoute cette voix, cela lui rappelle quelques souvenirs, à cause l’intonation de cette parole… il sourit à ce qui fut peut-être lui ? Il trouve que le ton n’y est pas, « fuis ta jeunesse et muris très vite, tu n’as plus le temps de finasser, il faut outrepasser ! »)

(récit original)

à ajouter

(version)

c’est quoi la finance ?

(financier-économiste-actionnaire)

C’est quoi un système économique, c’est quoi la finance, c’est quoi l’argent ? C’est un moyen inventé par notre propre espèce ! Et nous ne représentons qu’une partie de cette vie, une faible fraction de son règne, une entité parmi d’autres, qui ne résonne que sur ses critères de domination égoïste qui écarte le reste des vivants, c’est ça ! C’est uniquement ça ! Cette vision évacue les autres existences, l’homme ne voit que soi-même, et il élabore des concepts complètement déconnectés ; ça ne pourra jamais fonctionner, car on oublie ceux qui ne sont pas nous. Si l’on veut vraiment parler de gestion, de celle de la planète, c’est en se basant sur une réalité et non pas sur un système totalement artificiel, avec des critères qui ne correspondent qu’à un mode extrêmement étriqué, le monde des hommes, non ! C’est le vivant dans son entier qui devrait être considéré ! On doit résonner à l’échelle de la terre et de la masse des éléments qui persévèrent sur elle, on ne peut pas faire autrement, on devra accepter qu’on ne puisse pas procéder différemment, c’est très simple ! nous n’avons qu’à nous éveiller à la compréhension de cette situation ; vous restez (actuellement) dans un système verrouillé qui ne permet qu’un enchérissement par une prise de pouvoir de certains sur d’autres, cela n’aboutit qu’à ça, la finance et son argent, ce n’est pas plus que ça ! Si au départ il justifiait un commerce plus ou moins équilibré, il a favorisé un essor, une expansion de certaines civilisations, mais fut vite perverti par cette quête de domination, situation inacceptable où vous rencontrerez des êtres qui accumulent une fortune absolument aberrante au détriment de la qualité de vie des autres sans qu’une réelle justice se fasse… Peu importe mon opulence pécuniaire à moi, mes exigences restent modestes, du moment que je puisse vivre décemment ; la seule véritable richesse devrait demeurer celle de mon esprit, dans ma façon d’être, elle n’apparaît pas dans mes moyens existentiels et dans les nombres de zéros de mon compte en banque, un compte en banque c’est « peanuts ! », ce n’est rien ! La richesse dont nous parlons, elle doit transcender en vous ! elle ne demeure surtout pas matérielle, elle vous relit au monde à travers la qualité de votre vie et dans la pérennité des informations que vous laisserez ; elle réside dans la spécificité de ce que vous êtes, elle ne se situe pas dans la quantité des zéros de votre compte en banque ; cela, ce n’est rien ! ce n’est pas une richesse, c’est de l’aberration, de la connerie pure ! une dérivation comportementale stérile vouée à un échec futur absolument prévisible et destructeur, il n’existe aucune ambiguïté quant au destin de cet avenir-là et c’est ça que vous voulez ? Ah ! je suis très… très très fâché ! Très fâché !

entendre parler un économiste (parole en marchant – 19 avr. 2017 à 17h35)

(récit original)

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Quand j’entends parler un financier-économiste-actionnaire avec sa pseudoscience, j’ai l’impression d’écouter un intégriste, qui veut vous faire croire à son système, sa doctrine l’élevant comme un livre sacré… Il ne résonne qu’avec des solutions purement financières pour votre vie, c’est d’une aberration totale ! Le vivant ne se résume pas à une économie ! C’est faux ! C’est faux !
Quand j’entends parler un financier-économiste-actionnaire, je sors mes mots et les assène comme une arme, une alarme contre leurs maux !

ce qui m’étonne justement (parole en marchant – 19 avr. 2017 à 17h43)

(récit original)

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Ce qui m’étonne justement, ce qui m’étonne à propos de l’économie, c’est que la plupart d’entre nous n’arrivent pas à concevoir différemment ce système, il demeure une forme de religion, basée sur un principe financier qui reste de l’ordre de la doctrine, un concept complètement artificiel ; vous ne trouverez nulle part ailleurs ce genre d’organisation dans la nature que chez l’homme ! Vous ne rencontrerez aucun autre être vivant utilisé des comptes en banque, et une monnaie pour subsister ; c’est une inféodation, une subordination à un système, la plupart d’entre nous doivent accepter ce système, les gens sont dans l’obligation de l’endurer, c’est un diktat ! on ne vous donne pas à réfléchir, c’est comme dans une religion vous devez y accorder crédit (en quelque sorte) ; vous n’avez pas le choix sinon, tant pis pour vous, à vos risques et périls ; si vous vous trouvez démuni du sou, avec aucun pécule en poche, c’est un cran au-dessus, vous ne rencontrerez pas le dilemme des options possibles, il n’y en a pas ! vous pourrez crever, on ne vous relèvera pas (ou si rarement) ! Et tout le monde est perverti par cette croyance ; je vous vois sourire, mais tenter donc de comprendre ce que j’essaye de dire et de concevoir, ce n’est pas totalement idiot ce que je peux avancer là.

c’est quoi votre accaparement (parole en marchant – 19 avr. 2017 à 17h49)

(récit original)

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C’est quoi votre accaparement ? vous construisez un mur des territoires, ce n’est rien ! Ce n’est pas autre chose que du momentané !

blé artificiel (parole en marchant – 19 avr. 2017 à 17h57)

(récit original)

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Exemple d’accaparement foireux !
Financier-économiste-actionnaire

Vous vous plaignez que vos blés artificiels vont manquer d’eau, mais vous plantez une semence qui ne pousse correctement qu’avec une quantité toujours identique d’arrosage, conditionnée à un critère unique de rendement, où l’on se fout perpétuellement de sa qualité nutritive ; le seul intérêt désiré c’est qu’il demeure rentable, on cultiverait de la merde que ça en serait pareil ! Ça ne peut pas fonctionner ! Avant tout, il doit être planté pour des raisons alimentaires ; la nature nous a fourni des blés originaux sauvages très résistants qui s’adaptent bien mieux aux conditions de sécheresse climatiques sévères ; ils s’avèrent peut-être moins lucratifs, leurs critères existentiels n’offrent rien de commun avec une rentabilité « humaine », mais se retrouvent dans une qualité pérenne, dont on peut faire ressortir deux aspects : adaptatives et gustatives par voie de conséquence, car elle est liée à la richesse du sol ; si vous le cultivez que pour une raison, celle d’acquérir des bénéfices et non pas d’alimenter une population, vous allez fabriquer de la merde ! Et les financiers, les économistes, ne semblent pas le concevoir différemment, ils se foutent de la qualité de ce qu’ils produisent, le seul critère c’est la rentabilité, ça ne peut pas fonctionner indéfiniment ! Ça va s’étaler sur une dégénérescence de tout ce qui est réalisé selon ce principe ; toutes les grandes industries agroalimentaires de pesticides et autres sont en train de construire une logique qui va fatalement s’écrouler parce qu’elle ne s’avère pas viable ni pérennisable, elle ne tient pas compte de l’essentiel : le vivant ! Répétons-le, le seul aspect envisagé reste un critère économique, ça ne peut pas fonctionner, puisque ce système ne se trouve pas « relié à ce qui demeure vital ! » Si vous ne permettez pas une liaison avec ce qui vous anime, ben ! vous mourrez ! Ce n’est pas plus compliqué que ça, la nature obéit à des règles très simples en réalité, c’est l’homme qui devient problématique, dans cette histoire, avec ces conceptions idéologiques économiques tordues basées sur un critère qui représente une aberration du vivant… Nous savons bien que les financiers-économistes-actionnaires, à produit de tels éléments à la dégénérescence inévitable, ils s’en contrefichent qu’ils soient empoisonnés ou non, puisqu’ils ne les réalisent que pour leurs bénéfices propres immédiats et égoïstes du moment, ils se moquent royalement de l’avenir qu’ils laisseront… « Après ma mort, je m’en fous ! »