(parole du soir - 6 oct. 2016 à 0h45)
—> réponse de lui à cette remarque
Le mot n’était pas approprié quand vous disiez que je ne fus point terminé, à cet instant-là je ne faisais que commencer ; ainsi voilà, mon achèvement s’accomplit à mon enterrement ; et puis, quelles allures devrais-je offrir, à cet abandon si supérieur que vous m’aviez quémandé ? Que pouvait-il délivrer avec suffisamment d’envergure, mon petit personnage demeuré sans importance, il n’accomplit que ce qu’il put, au-devant des obstacles que lui donna la vie, là où l’on ne refait pas deux fois la même scène, à jouer dans un rôle unique pour ne plus y revenir ; et puisque je reste trop pudique…