(texte (??) - 16 févr. 2017 à 19h26)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 140. [fé af o] tu es dans le rêve…
—> propos niais

Dans sa mémoire oui ! il voyait bien qu’elle exprimait la vie.
Il était en elle, elle était en lui, elle était la vie.
Ils étaient deux, réunis en un ; il ne serait jamais plus seul, elle ne sera jamais plus seule ; ils étaient deux, réunis en un, éternellement, jusqu’au bout des temps, jusqu’au bout des temps…

Oui ! pfff ! Voilà bien des propos charmants tout à fait illusoires maintenant, je dirais même, assez niais ; c’est très décevant ; n’éprouvez-vous pas d’autres manières à exprimer ici avec un peu plus d’avenant, d’invention, de clarté dans vos arguments… je vois que vous n’y comprenez toujours rien à ces choses, que vous essayez lamentablement d’expérimenter ; vous ne rencontrez aucun épanouissement notable qui exaspère vos pas, les fasse aller vers on ne sait quoi, un désir vaillant ? Non ! Votre audace n’examine rien de bon, vos méninges ne dénichent pas la prosodie adéquate (savants propos) qui sied à votre destin, pour de meilleurs jours, pour un profitement approprié aussi ; oui, je sais bien, vous ne trouvez pas les mots, à cette absence l’on constate toute la profondeur de votre ignorance, on ne peut parler que de ce que l’on connaît et de ce sujet-là, je discerne bien votre inculture, pour votre grande incertitude à explorer tous ses méandres ; il faudrait les vivre avant de les commenter, mais avez-vous besoin de cela ? Le temps qu’il vous reste à exister mérite-t-il tout cela ?

Elle était donc la vie, soit ! Et puis, qu’en engendre-t-on de cette vie ? Que voulez-vous dire en exprimant cette oraison ? Qu’elle apparaissait souriante, et pleine d’entrain, de joie, avec beaucoup de désir à étreindre le monde et accomplir les tâches de ses passions ? Vous avez peut-être raison, qu’elle représente tout cela, je ne dis pas non ! Donc si je comprends bien, en comparant votre extase à votre envie de vivre, on y voit en effet une grande différence et vous semblez dépressif, morne et sans attrait ; qu’aurait-elle à désirer de vous ? Quel charme devrait émaner de vous pour obtenir qu’elle s’éprenne ? Me l’avouerez-vous que c’est ce sujet-là qui vous enchaîne ?