(texte (??) – 6 oct. 2017 à 0h42)
—> 3. « singes savants », philosophia vitae : relier ?
Une chose semble étrange, comment se fait-il que la perception du mécanisme de nos viscères soit à ce point oubliée ; tout se passe à notre insu.
Il me semble que la vie a omis de joindre ces deux réalités : la consciente et l’inconsciente, les deux matrices, servant à notre fonctionnement… Ou si elle ne l’a pas oublié, c’est qu’elle essaye de raccorder les deux, de les faire communiquer en inventant un stratagème, un sémaphore, une alerte pour que nous nous éveillions de cet état de fait et agissions en conséquence : du vivant qui cherche des connexions !
Ou alors, c’est volontaire de sa part, de ne pas relier, pour ne pas encombrer l’esprit, du discernement que l’on a du monde alentour, dégager de la gestion de nos organes internes, éviter la saturation, pour plus d’attention… Serait-ce que je m’obstine inutilement, elle ne le souhaite pas ?
– De dire cela devient l’expression d’un être qui a perçu cet aspect…
– Enfin !
– Non ? Quoi ? Pas ça !
– Tu racontes n’importe quoi là, c’est quoi, tu ne va pas publier ça ?
– Il y a… non, mais oh !