—> 3. « singes savants », considérations philosophiques :
—> améliorer la transposition de la voix en gardant le plus possible le langage parlé initial !
1 (parole entre deux sommeils - 10 janv. 2017 à 1h05)
Vous disiez : ce n’est pas parce qu’une civilisation meurt que tout doit s’éteindre ; après tout décès s’ensuit une naissance, un renouveau, toutes celles perdues laisseront le lieu à une prochaine, une nouvelle, qui à son tour essaimera ; après avoir existé un temps, s’éclipsera pour offrir la place à d’autres avenirs ; que l’on appelle cela civilisation ou culture si vous préférez, cela n’a pas d’importance, vous trouverez de nouveaux devenirs après celle-ci, même si elle meurt, c’est une extinction quelque peu symbolique !
2 (parole entre deux sommeils - 10 janv. 2017 à 1h06)
(Histoires des civilisations racontées par le vieil homme, à propos des sociétés qui meurent et qui naissent, donnez son point de vue à ce sujet)
3 (parole entre deux sommeils - 10 janv. 2017 à 1h14)
Vous vous inquiétez à propos de l’extinction, de la disparition, de la mourance progressive de votre civilisation qui va s’éteindre et quant à son remplacement par autre chose, vous vous inquiétez des perspectives qui s’égrènent. Bien sûr, notre avenir sera ce que nous en ferons, cela s’écoule (ainsi), se produit au fil des siècles, nul ne sait ce que deviendra l’avenir de nos mondes, de notre espèce. C’est certain, aujourd’hui, dès lors que chaque être peut dialoguer avec toutes les familles humaines autour de la terre, où les communications ne se sont jamais trouvées aussi prépondérantes, aussi rapides, le temps probablement d’aller vers des sociétés encore plus ouvertes, même si elles s’affrontent ; à l’évidence, cela montre que ces sociétés à travers leurs technologies apportent des moyens de dialoguer à une échelle planétaire, ce qui ne s’était jamais produit auparavant ; cette capacité de communication englobe toute la terre maintenant, la déborde, puisque les signaux émis et reçus de l’univers nous parviennent, que nous en envoyons nous-mêmes ; dans ce processus, il devient certain que cela engendre une possibilité… des perspectives totalement nouvelles pour notre espèce, comme à travers cette illusion que nous instille la vie, cette capacité que nous avons, de communiquer entre nous à l’échelle de la terre tout entière ; elle nous laisse entrevoir un des mécanismes développés par le vivant, de façon à perfectionner les échanges entre les êtres ; cette manière de transmettre nous a amenés à percevoir et utiliser une information globale au niveau de la planète, tout cela se réalise à travers « nous », certes ! Mais ne voyons-nous pas que nous représentons une entité submergée par un ego qui « se considère » un peu beaucoup au-dessus du lot, leurré par son propre mécanisme, celui qui l’a créé : le vivant !… Dans quel but ? Arriver à ses fins, en nous laissant « croire ! », et homo sapiens s’en trouve un petit peu abusé en quelque sorte (la vie demeure opportuniste). Notre tâche non divulguée explicitement : l’expansion ! (devons-nous croire que l’on aime bien ça ?) Abusé par cette communauté énorme que forment bactéries, microbes, archées, planctons, etc. une multitude d’êtres infimes et pourtant indispensables à notre devenir ; ils représentent la masse vivante la plus vaste, apparue sur terre bien avant nous, obéissant à un même processus qui n’a nullement cessé de se perpétuer au cours des millions et des millions d’années ; c’est ainsi, nous n’y changerons rien ; quant à notre capacité de percevoir ou de comprendre, c’est en nous-mêmes, nous, un morceau de la vie, d’acquérir cette capacité d’évoluer en l’affinant ; nous ne nous situons pas en dehors de lui comme un observateur étranger, nous sommes inclus dans ce vivant, une partie de lui se regardant lui-même ; cette perspective ouvre une vision totalement différente, avec cette approche que je vous donne là, nous devons appréhender le monde comme il est ! Et répétons-le, nous représentons une fraction de la vie, nous ne nous trouvons pas en dehors ni à côté, mais dedans !
4 (parole entre deux sommeils - 10 janv. 2017 à 1h32)
Ce n’est pas parce qu’une civilisation meurt qu’elle doit laisser la place à de nouveaux oppresseurs ; si une culture disparaît, si elle cède les lieux à une autre tout aussi tourmentée, peu importe qu’elle naisse ainsi, mais qu’elle régresse en développant un despotisme, ces renoncements n’apportent pas toujours un bon signe, à l’opposé d’un « éveil global » plus souhaitable à engendrer ; je disais : ce n’est pas parce qu’elle disparaît qu’elle doit laisser les lieux à de nouveaux oppresseurs ; que cette extinction progressivement doit être approuvée forcément !
5 (parole entre deux sommeils - 10 janv. 2017 à 1h33)
La place prise, par la civilisation, quand elle meurt… cédera à celle que vous occuperez, sans aucune méprise, elle demeurera de votre fruit ce que vous engendrerez ; ce n’est pas parce qu’elle s’éteint que tout va être dévasté ; s’agit-il d’un renouveau et de tout ce qui va entrer en scène avec ? On dit bien dans un ciel nouveau où sévira encore la vie !