(texte original - 15 sept. 2016 à 11h14)
(variation, le 31 juill. 2017 à 0h22)

—> 3. « singes savants », parcours initiatique d’histoire naturelle :

« Du service de la feuille, ce mot étalé, qu’il convienne bien si peu lisse, elle apparaît parfois, rugueuse à souhait, ajoute à la verdure tous ses états, sa platitude, tout de même, un élégant panneau chromatique élaboré pour l’usage d’une ressource offerte à la vie ; la lumineuse quantité d’un rayonnement de tout un été, bel exemple, oui ! Tout le jour inondé dérobe leurs formes d’un hasard possible, ecchymose des saisons retrouvées. Au midi, quand le soleil demeure assez haut pour la satiété des uns puis des autres, affiche le renouveau, un temps, au bord de l’étang beau. Et la pluie choisit une estivale humidité, avec de l’eau qui vienne d’en haut ! Le jour te dit “vois” toutes ces choses offertes à ton regard, c’est un gâteau de bienvenue ; c’est un cadeau de plus au menu. »

« Du service de la feuille, du mot étalé, qui lui convienne si bien, si peu lisse elle apparaît parfois, rugueuse à souhait, ajoute à la verdure dans tous ses états, sa platitude, tout de même un élégant panneau chromatique ; allant du savant mélange des agents faisant usage d’une ressource offerte à la vie, à la lumineuse quantité d’un rayonnement de tout un été, bel exemple. Tout le jour, dérobe au noir, ces formes, un regard possible, ecchymose des saisons retrouvées. Au midi, quand le soleil demeure assez haut pour la satiété des uns, puis des autres, affiche le renouveau, un temps, au bord de l’étang beau. Et la pluie choisit une estivale humidité, de l’eau, de l’eau qui vienne d’en haut ! Le jour te dit “vois” toutes ces choses offertes à ton regard, c’est un gâteau de bienvenue ; c’est un cadeau de plus au menu. »

« Quel grand service nous rend la feuille, ce mot étalé lui convient et bien si peu lisse elle apparaît parfois, rugueuse, épaisse, ajoutée à la verdure dans tous ses états, sa platitude, un élégant panneau chromatique tout de même, pour l’usage d’une ressource offerte par la vie ; ah ! la lumineuse qualité d’un rayonnement de tout un été, bel exemple, oui ! Tout le jour les inonde, à faire dérober leurs formes d’un hasard possible, ecchymose des saisons retrouvées. Au midi, quand le soleil demeure assez haut pour la satiété des uns puis des autres, affiche le renouveau, un temps, au bord de l’étang beau. Et la pluie choisit une estivale humidité, avec de l’eau qui vienne d’en haut ! Le jour te dit “vois” toutes ces choses offertes à ton regard, c’est un gâteau de bienvenue ; c’est un cadeau de plus au menu. »