(parole en marchant – 16 avr. 2016 à 16h36)
—> 1. « İl », intermède… : 41. [İ s] un ethnologue s’égare… (les femmes…)
—> relations avec les femmes de ce peuple innommé
(récit original) (à vérifier)
L’ethnologue égaré
À travers mes diverses recherches, je compris enfin à travers ce qu’il m’est arrivé avec cette femme, je compris que tous les témoignages que j’ai pu rapporter, très peu abordaient ce sujet et je compris que la plupart des voyageurs étend essentiellement des hommes et que les rapports qu’ils eurent avec les femmes leur paressait si honteux, non à leur avantage, opposé à leur machiste (naturel) évident, qu’il n’abordait ce point que très rarement et comme moi, par nécessité d’ouverture et pour des raisons évidentes et scientifiques, je ne peux occulté ce qui m’est arrivé, à la compréhension évidente de ce masque ; c’est sur ces relations qu’avaient les femmes avec les visiteurs, qu’on m’expliqua indirectement, que je compris évidemment, ce n’était pas à l’avantage des hommes, c’étaient les femmes qui décidaient en tout des règles à établir ; surveiller par les (leurs) hommes, qui en cas de violence, étaient là pour intervenir, il y avait une maîtrise ; ce peuple était vraiment soudé, et les femmes toutes à leur affaire, savaient vraiment y faire, certes, et j’eus le privilège d’assister à une scène identique à la mienne avec un autre visiteur que je croisai, fugitif, je le sais, qui subit d’une autre manière que moi, d’une manière certes moins docile, plus abrupte, en quelque sorte, donc il ne fut… s’agisse… qu’il ne fut, il s’agit d’un viol dans les règles de l’art ou l’on veut que la femme soit violée d’abord, ce fut presque moins évident, mais, plus un viol de femmes sur un homme, qui ne consentait pas à procréer à la manière qu’elle l’avait décidée, voulait prendre le dessus, elle ne voulait pas, ce fut donc les autres femmes, uniquement les femmes qui s’occupèrent de cela, les hommes étaient à leurs affaires, et elles étaient suffisamment bonnes (expérimentées) pour maîtriser l’homme, gaillard assez costaud certes, mais pas suffisamment pour domestiquer ces femmes très alertes et expertes ; donc, elles eurent le dessus et pour le punir de son non-respect des règles établies, en quelques sortent, elles se l’envoyèrent tout le jour, les unes derrière les autres, malgré sont mauvais caractères, il avait… il représentait un parti fort intéressant, il était bien mi de sa personne et pouvait susciter une descendance forte intéressante à leurs yeux ; elles le punir et l’humilièrent de manière à ce qu’il ne recommence pas et qu’il file tout doux à travers le désert, penaud, humilier qu’il était de son état de mâle, contrarier par des pratiques qui n’était pas à son usage. Je compris leur manière de faire, les excusèrent certainement ; ce n’était pas une nécessité, des accouplements étaient souvent sommaires, des amours comme partout ailleurs existaient, mais l’aspect rudimentaire était à ne pas se reproduire entre eux, de trop, pour éviter ces problèmes de consanguinité qui créait la dégénérescence, et cela ils l’avaient très bien compris, dans leur manière d’être, c’était une évidence ; il faisait très attention à cela, le tout était de survivre, survivre ici et les maigres éléments de subsistance ne permettaient pas que l’on se trompe, pendant que l’on use des attitudes qui remettent en cause les règles établies de siècle en siècle, qui faisait qu’ils existaient encore, donc la sexualité était parfaitement contrôlée, elle n’empêchait pas ni tendresse, ni sympathie, ni tous les sentiments humains, c’étaient maîtrisés, c’est tout, du mieux qu’ils le pouvaient ; ce n’était pas évidemment des êtres parfaits, comme partout ailleurs, ni plus ni moins…