(texte (??) – 9 nov. 2016 à 10h16 au 27 juin 2017 à 17h37)
—> 1. « İl », intermède… : 42. [v İ] qui trop embrasse, mal étreint,
« Si le temps n’eut été étroit,
en brief je savais les manières
à faire les règles des droits
qui eussent été singulières ;
mais d’embrasser tant de matières !
En un coup tout n’est pas empreint,
qui trop embrasse, mal étreint […] » (réf. ?)
(texte initial – 9 nov. 2016 à 10h16)
Il est arrivé, le moment de décider, à ne point trop s’égarer, envisager lourdement la question, il regarde tous les sujets déjà appréhendés, İpanadrega se sent éparpillé, éparpiller et bouleverser, au bout du compte il comprend qu’il doit choisir une voie, la meilleure, recentrer son parcours vers un but ultime, de s’essayer tour à tour à tant de choses, il s’aperçoit bien qu’il se disperse ; alors, restreindre son activité et se concentrer sur la recherche de ce peuple innommé, serait-ce la bonne idée ?
Mais ce temps, justement, lui demande de choisir enfin un destin, bien qu’il ait découvert une quête possible. Elle demeure là devant lui, au travers de ce voyage idéalisé, tant convoité, tant espéré, dans ses rêves ; il se devait de rencontrer ces gens du désert, maintenant qu’il en possédait à peu près toutes les clés sauf peut-être l’essentiel, où se trouvaient-ils ? Curieuse sensation, personne ne le lui a jamais précisé ou ne lui a fourni ni une carte ni une quelconque géographie, même lui n’eut à aucun moment la présence d’esprit d’en réclamer leur situation, maintenant que plus personne ne peut lui apporter ces détails ; vous le voyez là bien ravi, aucun nom ne fut dévoilé, que l’on veuille les cacher, on ne s’y serait pas mieux pris ; ne lui reste que la compréhension d’un vaste erg, un gobi, ou ce reg vu au sud, ou à l’ouest, une hamada, ajoutez-y un fleuve desséché, assemblez le tout dans une immensité et posez ce peuple au beau milieu, pour que personne ne songeât à les baptiser ?
(version – 27 juin 2017 à 17h37)
« il est arrivé, le moment de décider… de ne pas trop s’égarer », songe-t-il, et d’envisager lourdement la question ; il regarde tous les sujets déjà appréhendés, İpanadrega se sent éparpillé, éparpillé et bouleversé, au bout du compte il comprend qu’il doit choisir une voie, la meilleure ! Recentrer son parcours vers un ultime but ; de s’essayer tour à tour à tant de choses, il s’aperçoit bien qu’il se disperse ; alors, restreindre son activité et se concentrer sur la recherche de ce peuple innommé, serait-ce la bonne idée ?
Mais ce temps, justement, lui demande d’adopter enfin un destin, bien qu’il ait découvert une quête possible. Elle demeure là devant lui, au travers de ce voyage idéalisé, tant convoité, tant espéré, dans ses rêves ; il se devait de rencontrer ces gens du désert, maintenant qu’il en possédait à peu près toutes les clés sauf peut-être l’essentiel, où se trouvaient-ils ? Curieuse sensation, personne ne lui a jamais précisé ou ne lui a fourni ni une carte ni une quelconque géographie ; même lui n’eut à aucun moment la présence d’esprit d’en réclamer leur situation, à présent quiconque ne peut lui apporter ces détails ; vous le voyez là bien ravi, aucun nom ne fut dévoilé, que l’on veuille les cacher, on ne s’y serait pas mieux pris ; ne lui reste que la compréhension d’un vaste erg, un goby, ou ce reg des régions du sud, ou à l’ouest, une hamada, ajoutez-y un fleuve desséché, assemblez le tout dans une immensité et posez ce peuple au beau milieu ; que représente donc la teneur d’un pareil oubli pour que personne ne songeât à les baptiser ?
—> ajout « pour pouvoir s’y reconnaître » (du 2 mars 2016 à 17h24)
(version du 9 nov. 2016 à 10h16)
Oui ! de ces gens, il voudrait les rencontrer pour pouvoir s’y reconnaître ; apprendre de leur histoire, s’ils existent encore, essayer de comprendre pourquoi ils se sont arrêtés en pareil lieu, il a ce désir d’y aller voir, là-bas ; n’y trouver peut-être rien, peut-être l’espoir, une nouvelle façon de vivre, parce qu’ici, tout l’insatisfait, à cet endroit plus rien ne l’effraie. Voilà sa raison de partir à leur rencontre, elle demeure simple et sans ambiguïté. İpanadrega est de nouveau captivé à cette idée… C’est dit ! il a pris dorénavant sa décision, elle devient son ultime désir, la cause de son voyage annoncé, il va devoir s’organiser…
(version du 27 juin 2017 à 17h37)
Oui ! de ces gens, il voudrait les rencontrer pour pouvoir s’y reconnaître ; apprendre de leur histoire, s’ils existent encore, essayer de découvrir pourquoi ils se sont arrêtés en un tel lieu ; il a ce désir d’aller voir là-bas, de n’y trouver peut-être rien, peut-être l’espoir, une nouvelle façon de vivre, parce qu’ici, tout l’insatisfait, à cet endroit plus rien ne l’effraie. Voilà sa raison de partir à leur rencontre, elle demeure simple et sans ambiguïté. İpanadrega est de nouveau captivé par cette idée… C’est dit ! il a pris dorénavant sa décision, elle devient son ultime ambition, la cause de son voyage annoncé, il va devoir s’organiser…