– 68 – tempo
« Curieux de tout, études du dedans et du dehors de son crâne accomplies, après avoir égorgé les terribles incertitudes où crevaient les tenants de votre mansuétude et puis lassé des entourages, devenus trop proches maintenant ; la mine réjouie, avec des élans soudains et brefs, reprend encore une fois des jeux d’enfance et puis d’autres, plus vils, comme pour un dernier intermède, dorénavant, il ne lui reste plus qu’à parcourir les lointains horizons… »

(extrait du texte (??) original du 17 sept. 2010 à 18h09)

—> à transposer

Des voyages,
leurs parcours vous amènent à des transports parfois lointains qu’il n’est pas besoin de préciser l’influence que cela anima dans l’esprit des gamins. Sur cela, méditez le temps que vous le désirez, l’histoire ne fait que commencer, sur ce chant une mélodie à peine saupoudrée que vous pourrez fredonner quand dans l’ébranlement de vos passages une ramure de sauvage l’aurait arrêté, alors entonnez la vague chanson ! Elle vous emportera où vous voulez où vous savez…

(version texte (??) – 25 mai 2017 à 20h47)

—> préambule —> intermède – intermezzo – intermedius

– Des voyages  ?
– Oui ! eh bien, quoi ?
– Aaah ! Est-ce bien sage ?
– Peu importe…
– Envisagez-vous des découvertes ?
– Probablement !
– Mais avez-vous empoché quelques cartes, comment ferez-vous ?
– Ne vous inquiétez pas, leurs parcours vous amènent à des transports parfois lointains qu’il n’est pas besoin de préciser l’influence que cela anima tant dans l’esprit des gamins. Sur cela, méditez le temps que vous estimerez nécessaire, l’histoire ne fait que commencer ; sur ce champ offert à vos vues encore sans horizon, entendez-vous une mélodie à peine saupoudrée que vous pourrez fredonner assurément quand dans l’ébranlement de vos passages une ramure de sauvage ferait mine de tout arrêter, alors, entonnez la vague chanson, elle vous emportera où vous voulez par où vous savez ; ne réfléchissez pas trop au programme, il s’y mêle bien plus que de l’instinct.

(version révisée : sept 2017)

– Ne vous inquiétez pas, leurs parcours vous amèneront à des transports parfois lointains qu’il n’est pas besoin de préciser… voyez l’influence que cela anima tant dans l’esprit des gamins : des rêves à n’en plus finir. Sur cela, méditez le temps que vous estimerez nécessaire, l’histoire ne fait que commencer ! Sur ce champ offert à vos vues encore sans horizon, entendez-vous une mélodie à peine saupoudrée ? Vous pourrez la fredonner assurément quand dans l’ébranlement de vos passages une ramure sauvage ferait mine de tout arrêter, alors, entonnez la vague chanson, elle vous emportera où vous voulez par où vous savez, laissez-vous guider par vos instincts ; ne réfléchissez pas trop au programme, il s’y mêle bien plus que de l’incertain.
– Votre logique me semble, ne vous fâchez pas, nous dirions… comme un peu… flou ! N’es pas ?
– Oui ! C’est un peu ça…