(parole en marchant - 13 mai 2018 à 18h44)

—> suggestion de « İl » au scribe du récit
—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit
—> intégrer ces concepts à travers des renvois entre la narration et les ajoutements ou l’inverse

« İl », l’idée de lui, ce concept abstrait d’une façon que l’on a de le nommer, eu l’idée de poser une chronologie de tous les événements mis en mémoire, ou que la mémoire conserve étroitement au creux d’elle-même, depuis le début jusqu’à la fin du commentaire du récit ; l’ordre chronologique du racontement qui s’ajoute à la narration qui est plutôt une synthèse finale (snif), réduite, du raccordement essentiel ; un récit narratif qui peut être dit (exprimé) oralement, alors que la chronologie est un long parcours, un processus d’accomplissement de la mémoire, de ses tergiversations, de ses variations et de son évolution, beaucoup de « tion ! » La chronologie serait dans les ajoutements et les ajoutements sont intégrés à la chronologie, évidemment, mais à côté de la narration, car ils sont des récits complémentaires, comme le petit chemin au fond des bois, magique qu’il n’est plus dorénavant (à expliquer ou renvoie), comme les réflexions de philosophia vitae, et comme le reste, propos annexes tout aussi importants, qui peuvent être lus indépendamment, il n’y a qu’à faire son choix.