(texte (??) - 11 févr. 2016 à 11h13)
(à transposer au pluriel)
Il renifle le vent et vous l’enrubanne comme un cadeau.
Ils reniflent le vent et vous l’enrubannent comme un cadeau.
Levant le front vers le ciel, sniffant la ventilation du moment autour de leurs narines, pour inspecter ce qui arrive à leurs olfactives et précises ouvertures, les poussières odoriférantes du désert parfois bienvenu, parfois mal venu, ou des humeurs, ses variances incertaines : le temps vous donne de ces outrages que la certitude des lendemains rende énigmatiques, comme à chaque matin, son sempiternel recommencement…