(texte (??) - 20 mai 2014 à 1h40)
(original)
À celui qui trouvera ceci, à donner
au conteur, au lecteur, au liseur, à tout ;
écoute l’histoire moche comme un pou,
amène ton œillade d’un ton amène et doux,
désireuse farandole qui malmène et des coups…
Va lire tout ceci qu’est la rythmeuse oraison d’un pauvre fou.
À dire haut et fort, cela va de soit, ne pas le faire,
en deçà des rythmes ivres sans dessus dessous,
frelate la rengaine, te rend imbécile et saoul.
Vous ne pourrez plus dire dorénavant,
n’avoir point été prévenus des mots du diseu,
la vilaine complainte qu’est ci-devant vous…
(version 18 janv. 2016 à 19h51)
À celui qui trouvera ceci, à donner
au conteur, au lecteur, au liseur, à tout ;
écoute l’histoire moche comme un pou,
amène ton œillade d’un ton amène et doux,
désireuse farandole qui malmène et des coups…
Va ! Lis donc, ose aller jusqu’au bout,
au-dedans y sont caché les idées d’un fou.
À dire haut et fort, cela va de soi, ne pas le faire,
en deçà des rythmes ivres sens dessus dessous,
frelate la rengaine, te rend imbécile et saoul.
Regarde bien, écoute, sens, touche,
ce qui s’y cache, un monde d’où l’on ne peut fuir.
Vous ne pourrez plus dire dorénavant,
n’avoir point été prévenus des mots du diseu,
la vilaine complainte qui est ci-devant vous…