(texte manuscrit – le 7 oct. 2018 à 19h30)
—> 3. « singes savants », philosophia vitae :
Dans mon raisonnement, l’information est inhérente à l’univers, elle en garde sa trace, la trace laissée est bien plus subtile que l’on veuille le voir.
—> théorie du vivant
Le vivant est une surcouche ajoutée à la masse biologique, pour qu’elle s’anime et interagisse avec le minéral. Le vivant résulte de l’information, puisque c’est cette même information qui permet aux cellules vivantes de transmettre un mécanisme, un processus existentiel, un code, un mode d’emploi, aux générations cellulaires nouvelles, et ainsi de suite. Sans information il n’y a pas de vie. La vie est une invention du processus de l’information (dans ma perception que j’ai de l’univers, l’information faisant partie de l’univers, sa principale donnée, puisqu’elles codent le mécanisme de fonctionnement des particules, des étoiles, des galaxies, elles obéissent toutes à des lois physiques qui doivent exister dans leur fondement quelque part, et ce quelque part, se situe dans l’information où l’univers y puise ses propres fondements. L’information est donc quelque part, elle code et formalise le principe d’existence de chaque particule selon un mode opératoire précis, aléatoire ou indécis, les formules s’appliquent dans un mécanisme reproducteur qui varie peu : les étoiles se forment toujours plus ou moins de la même manière, les galaxies, les planètes ; et sur les planètes comme la nôtre, cette surcouche de l’information, que l’on appelle le vivant, dirige les fondements de la matière selon un mode d’animation rapide qui à tout moment, dans la régénération de chacune de ses briques, se dédouble, se démultiplie, grâce à cette information transmise, les plans de fabrique de chaque élément sont toujours présents, variant sans cesse pour permettre à ce vivant de progresser…).
Un message est transmis, un message immatériel. L’univers en est rempli et il se pourrait bien que cette énergie noire en fasse partie (réf.).