(texte manuscrit – le 6 oct. 2018 à 23h40)

—> 3. « singes savants », philosophia vitae :

Pour mémoire, développer « remontrances faites à la vie ! »

(ajout du 9 oct. 2018 à 15h30)

—> à terminer

De considérer les égarements du vivant comme parfois inappropriés, de tout expérimenter, même la cruauté ; à force, cela devient ennuyant, ces répétitions, sans cesse, de la torture et du sadisme, un naturel des hommes, semble-t-il ? Comme pour d’autres vivants, cette cruauté s’avère un lot quotidien, une exclusivité du vivant dans son entier, l’homme n’étend que la bête ayant optimisé cette dite « cruauté » à un niveau inégalé jusqu’à ce jour ; ou du moins, elle reste la plus voyante. Pourquoi n’arrivons-nous pas à corriger cette dérive ? Une faille dans le vivant existe ; combien de souffrances encore pour arriver à comprendre cette déviance devenue inutile : oui d’accord nous avons compris, ce sont des esprits tordus qui agissent ainsi, des dérives d’un vivant mal fichu…