(parole en marchant - le 4 nov. 2018 à 17h28)

—> à ajouter au préambule du 11 sept. 2018, « je vous le laisse ce nom »

Je ne… je n’ai plus de nom, euh ! je ne veux plus de cette épithète que l’on m’a donnée, eh ! cette manière de m’appréhender, eh ! « je n’ai plus de nom, donc vous ne pourrez plus me nommer », dit-il ; éventuellement vous parlez de lui, de celui qui… transcrit ce récit… resté évasif, parce que c’est une part de vous qu’il y a mise, qui l’ai mis au dedans… part de la vie… de vous de nous de tout… de ce récit, au bout il n’y a pas de nom ! de ce qu’il y est dit ; tout philosophe, tous vos psys quelconques, de l’analyse que vous en ferez, ne cherchez pas, je vous en prie, ne vous égosillez pas, je n’ai plus de nom, comprenez-vous ? Réfléchissez un peu : de nom, il n’y en a pas ici ! comprenez-vous ? Chercher un peu…