(parole du jour – 27 oct. 2018 à 14h16)
—> 3. « singes savants », philosophia vitae :
Je ne suis pas sûr d’avoir enregistré ce qui a été dit précédemment, donc pour mémoire, à se remémorer tout à l’heure : je voulais parler du mécanisme de notre prétendue autonomie, vis-à-vis des autres vivants rappelés les concepts évidents…
(À compléter)
(ajout électronisé le 31 oct. à 14h21)
notre prétendue autonomie
De l’autonomie de notre corps, je n’en vois qu’une apparence trompeuse, tout notre métabolisme est étroitement lié à toutes les bactéries qui nous occupent dans une biologie évidente à digérer ce que nous absorbons régulièrement. Sans elles, notre corps ne pourrait subsister bien longtemps. De même pour la nourriture absorbée, il faut bien qu’elle existe quelque part autour de nous et que nous en prélevions notre part, même si nous le faisons sans trop de discernement vis-à-vis de notre environnement. Ajoutez à cela le gaz que nous respirons continuellement : bactéries digestives, nourriture mangeable, gaz respirable, etc. tant d’éléments dont nous dépendons étroitement, où est cette autonomie prétendue ? Je n’en vois aucune ? Nous sommes tous reliés, qu’on le veuille ou non, au reste du vivant ; même si nous tentons de les ignorer en les exploitant avec un déni aussi débordant, cette attitude ne durera que quelques ans, soyez-en sûr, notre sort est méchant !