(parole en conduisant - 27 oct. 2018 à 14h24)

—> recherche inconsciente de la raison d’utiliser ce mot ?
—> étude à poursuivre

Le vivant est une émanation de ce qui fait Ipanadrega ; Ipanadrega pourrait se dire en plusieurs mots : « Ipanadre ! », « IpanA-drE-gA ! » en accentuant les phonèmes… « IPana ! IPanA ! dreeega ! », ça serait presque deux mots. Ce qui fait sens en toi est une manifestation… Le vivant est dans cette manifestation ; dans nos cités, dans nos civilisations, ce qui fait « Ipanadrega » serait l’information transmise, mais le terme information est un peu fade : « Ipanaa ! IpanaaDrega ! » est plus dynamique ! Ce qui est transmis en toi, ce flux immatériel, cet « Ipaanaa, Ipanaaadrega ! Ipaaana Ipanaaa Ipanaaa drega ! », c’est comme parler dans une langue étrangère plus imagée, l’image des consonances ; ce qui vient en toi, ce flux, cette information que je ne cesse d’exprimer, c’est ce flux. Le vivant supporte ce flux, il transmet l’information. C’est la matière qui s’anime et qui supporte cette information et qui le transpose en… en différentes formes, en constructions matérielles, mais en élaboration tout aussi immatérielle, supporter dans des livres, dans des systèmes numériques, dans un tas de choses il y a cette information transmise et ce flux indéfinissables, appartient, fait partie de… de « l’Ipane… Ipane Aadrega ! »