(parole entre deux sommeils - le 7 déc. 2018 à 1h25)
—> peuple innommé, 171
—> à relier à 19. 203. 253.
Voilà ! « Ipan a drega », c’est le nom d’une information, c’est tout ce qu’on peut en dire (au début) ; ensuite si on révèle « c’est le nom d’une information » en disant, en ajoutant « cette information qui révèle, qui parle d’où tu viens », « Ipan a drega » c’est la terre d’où tu viens, on signale la terre, mais la terre ça peut être le sol, un endroit précis sur terre, ou la terre, globalement ; il y a cette ambiguïté. « Ipan a drega », c’est l’expression de l’endroit d’où tu viens, « ne l’oublie pas l’endroit d’où tu viens » ; et « l’endroit d’où te vient » ce n’est pas le lieu où tu es né, où tu as vécu, uniquement, c’est de penser au support qui a permis ton existence ; « Ipan a drega », c’est très proche de Gaïa, il y a des « a », il y a un « i », c’est synonyme un peu ; et dans « Ipan a drega » il y a le sens d’où tu viens, qui s’ajoute, alors que Gaïa nous parle que de la terre, « Ipan a drega » « c’est la terre » et « d’où tu viens », c’est deux choses à la fois ; mais dans le langage du peuple innomé, c’est plus subtil encore *, c’est un long discours autour de cela, ou toute l’histoire se termine toujours…
(Voilà, j’ai trouvé : le dernier mot, la terre d’où tu viens… « Ipanadrega » c’est le dernier mot que je dois mettre… aaah ! c’est pas mal ça, voui, je crois que c’est ça !)
« N’oublie jamais la terre d’où tu viens », des peuples anciens (à propos de cela) parlaient de Gaïa, mais ici, ce terme n’était pas usité ; à chaque fois quand on parlait avec eux de cela, et que l’on approfondissait les choses, ils finissaient toujours à un moment ou un autre, juste avant l’au revoir ou les adieux, de dire, comme une politesse, comme une cérémonie, « n’oublie pas la terre d’où tu viens » et d’ajouter « Ipan a drega » (« Ipanadrega » pour aller vite) ; ils te le disaient dans ta langue, et dans leur propre langue, et à la fin, il y avait toujours ce mot qui en était deux en fait, « Ipan a ! » n’oublie pas, « Ipana drega » n’oublie pas, « Ipana » : d’où tu viens, la terre : « drega » ; « Gaïa » et « drega », c’est très proche !
* Pour ce peuple innomé, la philosophie derrière ce mot, ce double mot en fait, exprime une pensée profonde de ne jamais oublier ce qui te prête vie, « la Terre d’où tu viens ! » Exprime bien cela, n’oublie jamais ce qui te nourrit et te permet d’exister, de l’oublier te désapprendrait de la connaissance des ressources de la Terre, et de son essence ; le subtil équilibre des choses de la nature qui te permet d’exister, l’ignorer te fera perdre cette conscience et dans le ratissage des terres que tu exploites tu négligeras d’y maintenir docilement ce qui y mûrit tranquillement ; tu ajouteras un désordre dans cet oubli et les premiers fruits de ta perte comme si par manque d’appétit, cette terre qui te nourrit renonce à apporter ses fruits, non pas pour ta seule subsistance, mais aussi celle d’autrui que tu négliges ou que tu chasses des terres, justement, alors que tu aurais pu y trouver un juste équilibre pour ta subsistance et celle de tous ceux autour de toi. De négliger la Terre d’où tu viens, tu finis toujours par te négliger toi-même jusqu’à en périr si tu ne réagis pas face à ce problème, c’est cela, ce que te dit cette courte phrase en forme de mots « İpan a drega ! ».
…
(parole entre deux sommeils - le 7 déc. 2018 à 1h30)
Gaïa n’est qu’un nom (en langue antique : la déesse de la terre, ou terra un peu plus tard), ou « drega » en quelque sorte, aussi ; mais quand l’on dit « n’oublie pas la terre d’où tu viens ! », on dit « tu dois te souvenir d’une information » ; de nommer les choses, on peut utiliser des termes très différents, mais quand on dit « tu dois te souvenir d’une information de ton origine », c’est que l’on se prête déjà aux voyages. « N’oublie pas d’où tu viens », c’est que tu as voyagé pour qu’on finisse par te dire cela, et ceux qui te disent ça sont venus (déjà venu ou revenu) d’un grand voyage. « N’oublient pas d’où tu viens » ne nous nomme pas la terre d’où tu viens ; « n’oublies pas d’où tu viens ! » reste assez vague, mais quand on dit « n’oublie pas la terre d’où tu viens ! », on peut le comprendre de deux manières, « n’oublie pas la terre », le lieu géographique d’où tu viens, le pays s’il en est un, mais je peux dire aussi et c’est plus l’approche du peuple innomé, quand ils disaient cela, ils devaient le préciser, car ils n’étaient pas forcément compris, quand ils disaient « n’oublie pas la terre d’où tu viens », c’est-à-dire que toi, homme (si) tu oublies ce qui te prête vie, le lieu, la planète où tu vis, ne l’oublie (surtout) pas (tu y perdrais beaucoup de ton être). C’est cela qu’ils disaient : « n’oublie pas la terre ! » « Ipana Gaïa, Ipana drega », on pourrait dire ainsi !
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(parole entre deux sommeils - le 7 déc. 2018 à 1h33)
J’oubliais de préciser : et ce sens « n’oublie pas la terre d’où tu viens », n’oublie pas cette information que tu dois préserver, ce souvenir que tu dois hériter, dont tu hérites et que tu vas transmettre à travers divers aspects, à travers ton histoire. On parle ici d’une information, d’une chose, d’une mémoire qu’il faut préserver. On ne fait pas que citer la terre, on te dit qu’elle te prête vie aussi, tu viens d’elle, tu es de son fruit et ne l’oublies jamais ! Si tu détruis trop de parties de sa forme, de ce qu’elle est, tu mourras avec, prématurément ; oh ! on finit toujours par mourir, mais on naît vit et meurt toujours au même endroit, actuellement ; personne n’est encore réellement mort dans l’espace en dehors de la terre, nous n’en sommes pas partis, mais le jour où nous en partirons, cette phrase aura autant, ou plus d’intérêt et d’importance, n’oublie pas la terre, la planète d’où tu viens : « Ipan a Drega », « Ipan a Gaïa Drega ! »