(parole entre deux sommeils - 3 janv. 2019 à 0h22)
—> épilogue, 299
Je sais que vous êtes là, que vous suivez mes pas, mon existence, on n’est jamais seul, même quand on se croit isolé de tous, il y a toujours quelque chose en nous, qui nous espionne ; je sais que la vie attend de nous, dans l’expérimentation qui est faite de nous, que quelques-uns découvrent le « pot aux roses », la raison de leur situation, de comprendre ce que l’on est ; dans notre éducation, (de) l’expérimentation qui est faite de nous, il y en aura bien un, dans le nombre, quelques-uns (mêmes) qui découvriront le « pot aux roses », le grand secret, ce pour quoi l’on s’anime, que l’on découvre la faille (dans ce masque) s’il y en a une ! On sait bien que l’univers a des milliards et des milliards d’années, ce n’est pas nous, entité de quelques millions d’années, dans notre émergence, nous en héritons de cet univers, alors nous n’allons pas lui apprendre quelques manières (avec nos philosophies souvent bidon) ; nous sommes une de ces choses (forme animée) qu’il expérimente, pour voir s’il arriverait à évoluer de sa condition (le bonhomme), afin de passer à une autre chose, une autre existence, une évolution, une nouvelle espèce, un nouvel être ; qu’il s’émancipe de sa condition d’être vivant (d’être grégaire), c’est ça, ce que les gens (genres de choses) qui nous regardent, attendent ! Les gens, je dis les gens, les entités, les choses (les trucs, les machins), que l’on ignore ; on n’est jamais seul, on nait jamais seul…