(parole en marchant - 10 mars 2019 à 18h43)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 148. idéal onirique, lettre à ailes (elle)
—> ajouter à la lettre

« Dans ce pays où je vis, où je vécus doucement, je ne rencontrai aucune belle âme, le sentiment restait sec, sans une pleure, sans une larme, quelle qu’en fût l’occasion ; on sentait un affect démuni ne sachant à quoi se relier, quelque chose aurait été cassé que l’on ne s’y prendrait pas autrement, tant je voyais ces gens dans des sentiments insignifiants, sans âme justement, sans rien à y mettre dedans, eh, comme cela (le) faits souvent de trop fréquenter ce monde-là, ils vous imprègnent ; s’y incruste en votre dedans ce même sentiment, exubérant il devient ; vous ne pouvez vous en défaire comme ça, il faudrait côtoyer des êtres magnifiques tout le temps pour arriver à s’en défaire, mais où les trouver ces êtres-là, sinon de (le) devenir soi-même (magnifique), c’est un combat certes grandiloquent, important, mais en aurez-vous (auriez-vous) la force quand vient le vent, comme en ce moment. Fuir ! Peut-être ? Fuir, aller par-devant, recommencer dans votre avancement, beaucoup de “ment” et je ne sais si je mens, justement ! À force, on s’entête et on s’y fait à cet entendement… là, voilà tout… »