(parole entre deux sommeils – 12 mai 2017 à 01h44)

—> 1. « İl », peregrinatio, intermède 1 - 174.
—> explorer tous les possibles

(première version)
Oui, cette histoire s’avère embarrassante, vous vouliez parler de son réveil, de sa venue chez ce peuple ; on débat ici en effet de sa visite, mais il ne sait plus très bien si celle-ci, il l’a vécu comme un rêve ou s’il l’a éprouvé véritablement, il n’arrive plus à distinguer le vrai du faux, le réel de l’irréel, l’imaginaire des faits constatés, c’est très confus… et voyez-vous, nous ne pouvons guère vous aider quant à la révélation de ce qu’il en fut exactement ; on sait toutefois que quelque chose se passa, certains le confirment assurément ; mais les… les événements ne semblent en rien marquant observé de l’extérieur et le témoignage du vieil homme, celui qui lui parla si longtemps ne peut plus se vérifier, car il est mort il y a peu. Non ! c’est très embarrassant… et nulle part, il n’est certifié que ce peuple ait véritablement existé malgré toutes les informations qu’il a pu rassembler, aucune preuve matérielle ne résiste à une expertise historique, on trouvera toujours une faille quelque part qui la réfute, je suis vraiment désolé…

(parole entre deux sommeils – 12 mai 2017 à 2h00)

(Remarques)
Ou alors, autre possibilité, « le détachement » qui vient après « ce peuple innommé » est encore dans le rêve, « la retournée » arrive après ; c’est au début de ce chapitre qu’il sort de son sommeil, et que « sa colère », l’éveil de son arrivée, vers ce peuple innommé n’était pas le véritable éveil. Il crut s’éveiller, dans son rêve, mais ce n’était qu’un éveil dans son rêve, un éveil dans son songe, un éveil qui n’en était pas un, où il rêvait de s’éveiller alors qu’il songeait toujours, c’était plus plutôt ça ! Et que « le détachement » fait toujours partie du rêve…