(parole entre deux sommeils – 12 mai 2017 à 01h47)

—> 1. « İl », peregrinatio, le détachement, intermède 2
—> explorer tous les possibles

(Seconde version)
Nous sommes embarrassées, dans son témoignage, il ne parvient plus à décrire précisément le moment de sa venue, si elle fut réellement effective, il échoue à différencier le vrai du faux ? Si cela se passa en songe ou si cela fut une réalité, il n’arrive pas à distinguer ces deux aspects, ils sont entremêlés, il ne parvient plus à les discerner, il n’a peut-être fait que rêver ? De son voyage, il se souvient du départ, de son avancée vers ce peuple, il n’a aucune certitude quant à sa véritable rencontre, et son retour… reste une énigme pour lui : pourquoi donc allez au-devant de ces gens si l’on interrompt l’histoire, aussitôt après les avoir visités ? Ce parcours lui semble relativement étrange ; quelle intrigue a-t-on voulu amener ? L’auteur de ce discours, qu’en a-t-il griffonné de si imprécis ou aléatoire, il aurait dû prendre de meilleures précautions, non ! nous sommes vraiment désolés, nous n’arrivons pas à déterminer ce moment avec certitude…

(parole entre deux sommeils – 12 mai 2017 à 2h00)

(Remarques)
Ou alors, autre possibilité, « le détachement » qui vient après « ce peuple innommé » est encore dans le rêve, « la retournée » arrive après ; c’est au début de ce chapitre qu’il sort de son sommeil, et que « sa colère », l’éveil de son arrivée, vers ce peuple innommé n’était pas le véritable éveil. Il crut s’éveiller, dans son rêve, mais ce n’était qu’un éveil dans son rêve, un éveil dans son songe, un éveil qui n’en était pas un, où il rêvait de s’éveiller alors qu’il songeait toujours, c’était plus plutôt ça ! Et que « le détachement » fait toujours partie du rêve…