(parole en marchant - 31 mars 2019 à 19h14)
—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit : livre vierge, scribe, il, pas de nom, enfumage
—> annonce évolution du récit, site web
Une nouvelle forme de racontement a été trouvée (décidée) (en voici les conclusions) : ce récit arrivera donc « vierge », dans la décision qui a été prise, de toute lecture préalable autre que celles du scribe et de « il », l’initiateur de ce racontement. Il faudra vous contenter de cela et attendre, nous n’en énoncerons plus aucune parole dorénavant au préalable, sinon cet annoncement !
Tout au-dedans, probablement à la fin, dans des ajoutements, des préambules interminables tentent d’exprimer cet acheminement, comment l’histoire se construit… Tout au plus, cela servira à celui qui s’intéresse à pareil cheminement. Quant au récit lui-même, le peu qu’on puisse en dire, ce n’est que des certitudes maintenant ; il y aura bien en effet un premier racontement, le récit de fond, un premièrement ; un deuxièmement, un troisièmement et un quatrièmement, c’est assuré ! cela ne devrait plus bouger ; quant au contenu de chacun, il est à peu près fixé, il suffit d’en détailler, peaufiner le déroulement pour aboutir à un racontement total qui sortira dans son entier, vierge de tout regard extérieur, puisque ce choix a dorénavant été fait ; aucun correcteur autre que le narrateur, le récitant, le scribe et l’initiateur de cette histoire en quatre parties ; ils se sont mis d’accord, cette histoire sera vierge, avec tous les inconvénients que cela comporte dans le peaufinage, les éventuelles coquilles, les erreurs… Eh, concevez cet ouvrage comme une peinture, on ne demande pas à son auteur de refaire la couleur ou le trait ou la forme, il vous donne le tableau avec ses qualités et ses renoncements, ses imperfections, tout est dedans. C’est pareil pour cette histoire, les maladresses malgré le soin apporté persisteront (subsisteront) à certains endroits, c’était inévitable ! Aucun racontement aussi long ne peut être parfait, c’est impossible ! C’est un pari qui a été fait, de rester vierge de tout regard, prenez-le comme cela et pas autrement.
Cette narration, d’ailleurs, ne peut être écrite autrement, vous le saurez à la fin, quand elle sera établie et lue, peut-être vous comprendrez le pourquoi du comment d’écrire ainsi un pareil racontement. N’y trouvez aucune gloriole de quoi que ce soit, tout est fait à l’instinct de ce qui vient, sans préjuger de quoi que ce soit ni concevoir une quelconque méthodologie du leurre, de l’arnaque ou de la comédie… À l’instinct, à l’arraché du dedans de soi et des extérieurs aussi (allant) de soi ; l’on y met maint propos pour que s’ouvrent au bout, quelques idées d’une perception de ce que l’on est ! et fait !
Au-dedans du récit, on peut bien l’avouer, à un moment l’on dira, « ceci est un compte rendu, un rapport, une synthèse faite à un moment de la vie, ici, sur cette terre ; un bout de vie se met à égrainer cette perception qu’il a du monde et l’exprimer comme il peut, avec les arguments… avec les arguments qu’il a, qu’il possède, qu’il acquiert au fur et à mesure de l’écriture, puisqu’il s’agit de cela en fait, une écriture… » Un long « déroulement » du nom, que l’on veut donner à celui qui est au cœur du récit et qui n’a pas de nom, eh, qu’il le sait ! Alors son nom, lui, il vous l’égraine en plus de trois mille pages, en des milliers de pages, et il est bien persuadé que ce nom est incomplet, il ne peut être ce qu’il raconte, mais il en approche au plus près. Il dira au final, « c’est bien vrai, ceci est mon nom ! » N’y voyez là aucune tentation du mythe, de… d’une religiosité nouvelle, c’est tout l’inverse ! Aucune mystique véritable ne tente de s’y imposer, elle est contrée en permanence.
Vous vous tromperez en récupérant ceci, ce qu’il y a au-dedans de cet ouvrage, pour en contenter une quelconque opportunité que vous y trouverez pour un enfumage, pour un détournement que vous y ferez (feriez) ; nous n’y prendrons (nullement) part à pareils agissements, nous les refusons d’avance… Eh, dans cette maladie du siècle où l’on tente de vous enfumer à travers cette mythologie de la conspiration (permanente), ou de la remise en cause systématique de ce que nous percevons, en considérant chaque parole comme unique et comme véritable, sans démêler le vrai du faux, sans avoir son opinion propre, n’acquiescer que sur une écriture, même si elle est fausse (entendre le nigaud dire), « si on la répand au-delà de toutes les autres, c’est qu’elle doit être vraie ? »
Eh, que (toutes) ces parodies d’enfumage, même si la plupart du temps elles ne durent qu’un temps (que le moment des rumeurs), ne peuvent résister à l’épreuve du temps. Parce qu’à force, on s’aperçoit qu’il n’y a aucune vérité, aucune réalité dans de pareils agencements de l’esprit. On « enfume » les gens et on s’en délecte ! C’est si facile maintenant, sur ces réseaux électronisés que l’on dit sociaux où l’acteur est à la fois (un) produit, source d’acquisition de données (pour un big data hypothétique), (une) tentative d’espionner, (à) décortiquer les comportements à travers des algorithmes préétablis dans un unique but, « la finance ! »
La finance de quelques-uns qui usent de ce stratagème pour vous enfumer en premier, avant que les autres, les petits, ceux qui utilisent ces produits (devenus) produits eux-mêmes, puisque l’on exploite leurs comportements, leurs agissements, afin de les revendre au mieux donnant… Toutes ces tentatives d’enfumages divers et variés tentent de vous mener (emmener) dans un monde où tout le monde est connecté, et à aucun moment on ne tente de vous dire la vérité ! Dans la (les) petite magouille de ce siècle, les plus simples et les moins éduqués se font avoir, c’est entendu, c’est compris ainsi, c’est si facile l’enfumage permanent !
…
(parole en marchant - 31 mars 2019 à 19h17)
C’est si facile l’enfumage permanent, disais-je ; la plupart des humains sont si prompts à croire quoi que ce soit, du moment que les choses sont amenées d’une certaine manière, de façon à ce que vous puissiez les croire sans effort, que votre pensée soit dirigée là où on voudrait bien qu’elle aille ; tous les financiers du monde l’ont bien comprise, cette logique, quand ils vous font acheter des stupidités (au boniment), des produits exotiques, là où tout bonnement vous ne faites qu’acquérir de la merde ! Des produits sans fard autre que ceux de vous « enfumer ! » On y revient à ce mot qui me plaît bien…