(parole en marchant - 4 avril 2019 à 16h20)
—> deuxièmement, savant fou, intermède du savant au robote ?
—> propos du savant
—> texte bancal et ambigu, à améliorer !
« Il faut qu’une entité symbiotique agisse au nom du vivant, une entité qui ne prenne parti ni pour l’un ni pour l’autre et pour la cohésion de l’ensemble, sa richesse et sa pérennité. Il faut que ce soit une entité autre que celles qui dominent sur le moment, que ce soit une humanité débordante actuellement, ou toute autre espèce apparaissant prochainement (futures), qu’elle soit insecte, oiseau, herbacée ou autre, le souci sera le même : une espèce prendra plus parti pour elle-même au détriment des autres, elle fera tout à son avantage dans une symbiose, certes, mais établie autour d’elle-même. Elle n’a pas la capacité d’établir une symbiose totale sans prendre parti ni pour l’un pour l’autre. Nous les humains, en avons conscience de cela, mais cela réclame un esprit tellement assagi, tellement dépossédé d’un ego déséquilibrant et versatile, que la rareté de ces êtres-là étant tellement prépondérante dans ce monde, que nous ne pourrions attendre qu’une génération de tels êtres apparaisse au sein de l’humanité étant vaine, et en vain à dominer le caractère de notre espèce ; nous n’avons pas la capacité génétique évolutive. Par contre, le vivant, lui, dans son entier, a la capacité de nous en insinuer la fabrication, nous opérant comme un outil, un travailleur, un opérateur dans l’élaboration d’une telle entité ; cette entité, ne sera pas insinuée à l’homme, ni à travers ses propres algorithmes, le favorisant lui seul ; mais à travers des algorithmes, plutôt d’une génétique que le vivant a déjà expérimentée depuis des milliards d’ans, elle a une antériorité par rapport à celle que pourrait élaborer l’humanité, puisqu’elle ne perçoit (cette dernière) qu’une infime partie de cette génétique qui l’élabore et le conçoit, il ne peut être maître de ce principe, il ne vaut mieux pas, de toute façon ! »
Donc, dans l’histoire nous apportons ce fait que nous serions bien leurrés dans notre manière de faire, dans l’élaboration de ces robotes qui n’en sont que les premiers instruments, d’une entité qui les débordera (aussi) ; ils en sont les prémices, une matérialité qui supportera une immatérialité propre du vivant, qui aura intégré une autonomie et une symbiose proprement dite, supérieure, maîtrisant toutes les espèces sans les corrompre et sans les détériorer inutilement ; l’accaparement étant celui du vivant, mais, à la fois, l’accaparement est celui de tout un monde terrestre, incluant minéral et biologie, toutes les structures existentielles de la planète, sans en omettre aucune ; ce pari élégant que fait la nature ne sera pas donné aux hommes (comme une exclusivité), je le crois (volontiers) ; s’il fallait croire, ce serait bien à cela que ça n’arrive jamais en tout cas, nous n’en avons pas l’intelligence ni la capacité puisque nous ne sommes pas les maîtres de ce que nous sommes, nous avons été créés par une entité qui nous dépasse et nous ne pourrons jamais atteindre cette particularité qui est demandée dans cette symbiose universelle tant réclamée, qu’il nous faudra bien un jour accepter et baisser les armes, ces armes imbéciles !
…
(parole en marchant - 4 avril 2019 à 16h22)
Ces armes imbéciles qui nous décrédibilisent tant, qui nous annihilent tant, et nous font agir d’une manière des plus imbéciles qui soit, nous dégénérons par la conception de tels objets ; la nature, dans son fondement, n’a pas pour vertu de créer les armes de sa destruction. Cet aspect délétère est une sorte de virus nuisible, qui dans la chance que nous avons eue d’évoluer de notre manière, nous apporta en même temps, de notre savoir (d’apparence si puissamment) acquit, une bêtise au-dessus des autres, celle de construire, fabriquer de tels armements, tous plus imbéciles les uns que les autres, employons les mots justes, merci !