(parole en marchant – 11 avril 2019 à 13h47)

—> 1. « İl », praeludium : 2. [a] mentions…, ne pas le monnayer, « Et peut-être cette idée, que cet ouvrage, il ne faudrait pas le monnayer… » (ajout)
—> parfois, la logique est floue…

(original)
Et peut-être cette idée, que cet ouvrage, il ne faudrait pas le monnayer avec un quelconque éditeur, avec un quelconque profit (profiteur), de l’utiliser comme un faire-valoir de quoi que ce soit, que l’on dirait humanitaire, humaniste. Cette forme serait délétère, car elle exclurait les autres de cet ouvrage ; (alors) un faire-valoir du fait vivant ? Mais il serait tout aussi… (le vent s’engouffre dans sa parole), tout autant délétère, car nous oublions le reste, ce qui existe sur terre et qui n’est pas de notre engeance (de notre forme). Moi qui dis ça, l’eucaryote de passage que je suis, j’oublie le minéral, (et) tout ce (monde) qui me constitue, j’oublie les étoiles et celle qui me permet de vous voir au grand jour, j’oublie la lune, j’oublie l’univers, j’oublie ceux qui me constituent, « ceux : c-e-u-x » qui me constituent…
Vers 2’18 (un oiseau s’approchant, lui inspire le reste)
2’29
Nous pourrions faire usage de cet écrit (lors) d’un débutement à quelque chose, un ylem (ou ilem), une tentative probablement avortée un jour (naguère)…
2’47 (le vent ajoute des effluves et l’oiseau de passage médirait bien de lui, « ii li u titui titui titui ! »)
2’57
Financer, car les hommes ne savent pas faire autrement, cet usage… Apporter (de) quelconques bonnes volontés à d’autres usages. Nous pourrions, oui, nous pourrions, nous pourrions (adopter) mille et une manières d’en faire usage ; et pour cela, aucun nom n’est satisfaisant, car il réduit ce qui tend à vouloir appréhender une quelque part d’universelle, sans l’atteindre jamais et sous-tend qu’il faut bien faire avec !
4’04 (un oiseau s’approche, « titui titui… »)
Nous pourrions en effet, nous pourrions…
4’08 (l’oiseau chante sur sa voix, pour l’accompagner, « ti tu ti di ti tu di ti… », ce serait bien un Pouillot véloce)

(variante)
Et peut-être cette idée que cet ouvrage il ne faudrait pas le monnayer avec un quelconque éditeur, un quelconque profiteur, comme de l’utiliser en faire-valoir de quoi que ce soit, que l’on affirmerait humanitaire ou humaniste. Cette forme serait délétère, car elle exclurait les autres de cet ouvrage, un faire-valoir du fait vivant ? Mais il serait tout aussi délétère, car nous oublions le reste, ce qui existe sur terre et qui n’est pas de notre engeance, de notre forme. En disant ça, moi, l’eucaryote de passage que je suis, j’oublie le minéral, j’oublie tout ce monde qui me construit, j’oublie les étoiles, et celle qui me permet de vous voir au grand jour, j’oublie la lune, j’oublie l’univers, j’oublie ceux, « c-e-u-x », qui me constitue, m’habite… Nous pourrions faire usage de cet écrit lors d’un débutement à quelque chose, un ylem (un commencement), comme une tentative probablement avortée, naguère… à force de trop finasser ni de vouloir le financer, cet écrit. Mais les hommes ne savent pas faire autrement, cette pratique a avorté d’une quelconque bonne volonté vers d’autres coutumes sans mérite. Nous pourrions, oui, nous pourrions, nous pourrions adopter mille et une manières d’en faire usage, comme un partage. Et pour cela aucun nom n’est satisfaisant, il réduit ce qui tend à vouloir appréhender une quelconque part d’universelle, sans l’atteindre jamais ; on devra pourtant bien faire avec ! Nous pourrions en effet, nous pourrions…

(variante courte)
Et peut-être cette idée que cet ouvrage il ne faudrait pas le monnayer avec un quelconque éditeur ni un quelconque profiteur, comme de l’utiliser en faire-valoir de quoi que ce soit que l’on affirmerait humanitaire ou humaniste. Cette forme serait délétère, car elle exclurait les autres existences de cet ouvrage. Moi qui dis ça, l’eucaryote de passage que je suis, j’oublie le minéral, tous les mondes, les particules élémentaires ; j’oublie les étoiles et celle qui me permet de vous voir au grand jour, j’oublie la lune, j’oublie l’univers, j’oublie l’essentiel… Nous pourrions faire usage de cet écrit lors d’un débutement à quelque chose, un ylem. Nous pourrions en effet, nous pourrions…