(texte manuscrit - 18 mars 2019 vers 23h00)

—> 3. « singes savants », considérations philosophiques :
—> théorie sur la part immatérielle de l’information laissée…

—> à développer !

Peu à peu, l’univers nous informe de sa réalité, elle nous est inspirée, elle transparaît dans nos imaginations réciproques. Cette information d’une réalité ainsi dévoilée en partie, il faut bien qu’elle vienne de quelque part pour qu’on en vienne à la concevoir, ce serait peut-être contenu dans ce qu’on appelle « la matière noire ». Une relation avec celle-ci nous traversant, ne me semble pas étrangère à une quelconque transmission, perception, que l’on pourrait assimiler et traduire dans cette inspiration venue d’on ne sait où, à méditer !
Il faut qu’il y ait quelque part l’information de ce que je suis, où se trouvent les clés des plans de fabrique, ce qui détermine mon existence, ce fait immatériel de ma construction, comme de celles du reste autour de moi. Cette part a un poids immatériel certes puisqu’on n’en décèle aucune consistance autre qu’une information, un récit, etc.
Une historicité de la matière et du reste. La mémoire de ce qui est, de ce qui fut, de ce qui deviendra, ce n’est probablement pas une pesanteur analogue à celle des particules, des quarks, une présence d’on ne sait quoi, ce qui pourtant nous anime.