(parole du matin – 16 sept. 2019 à 6h13)

—> 1. « İl », livre 3, 96. remémorance

J’ai vu des corps brisés sous le joug de la contrainte…
s’éterniser en mille morceaux, voulant resurgir…
Eh, des bras tendus comme une plainte (long silence)… Cette mémoire, elle ne veut pas se déverser, elle ne me rappelle plus rien, ça y est d’un seul coup, j’ai tout oublié, que voulais-je dire, ce qui me venait, ce ne fut qu’une courte phrase entendue jadis, peut-être ? Il faudra que je recherche ce que cela pouvait bien vouloir dire « sous le joug de la contrainte », si je ne me trompe pas, de corps brisés… à quoi veut-on m’associer sans que je le sache ? C’est comme une pâleur qui se cache, tout ça, tout ça pour rien ? Oh ! Peut-être pas, on n’en sait rien…

(parole du matin – 16 sept. 2019 à 6h23)

—> diverses notes RENIER

 

« Paroles de vieux singes », sous-titre du « deuxièmement »

Dans cité… dans l’univers cité nulle part, le remettre à sa place, et tout de suite après, l’aparté du professeur qui jugeait ses écrits pas si mal (à recontextualiser) (après réflexion, déplacer dans ajoutements, de l’auteur au scribe)