(parole entre deux sommeils – 16 oct. 2019 à 3h49)
—> ilem, ce livre
Ce livre n’a pas besoin d’une temporalité ordinaire où l’on situe sa rédaction à une époque, à un moment précis, dans le moment des hommes (humains) ni prétendre à quoi que ce soit, l’on peut le considérer (comme) intemporel, intemporel, hors du temps. Tous les codes lui attenants ne reprennent pas les formatages précis de l’époque, du moment où il fut écrit, car au-dedans cela ne joue pas comme il faudrait, on n’en tient pas compte. On considère les choses hors du temps, hors de la manière des hommes (humains) ; mais comme ce fut un homme tout de même qui écrivit tout ceci, nous ne trouvâmes aucune autre manière que les mots que je vous dis en ce moment pour en exprimer le moindre contenu d’une manière acceptable, à tout entendement, à tout raisonnement. Ce récit navigue donc à travers le temps, remonte, le remonte ou en redescend, c’est selon l’air du temps, selon la manière dont on avance.
(version)
Ce livre n’a pas besoin d’une temporalité ordinaire où l’on situe sa rédaction à une époque, une période précise dans le moment des hommes, encore moins de prétendre à quoi que ce soit où l’on pourrait l’estimer intemporel. Tous les codes attenants ne reprennent pas les formatages rigoureux du siècle, du moment où il fut écrit, car au-dedans cela ne joue pas comme il faudrait, on n’en tient pas compte. Par contre, on considère les choses abordées hors du temps, hors de la manière des hommes ; mais comme ce fut un hominien tout de même qui transcrivit tout ceci, nous ne trouvâmes aucune autre approche que les mots exprimés actuellement pour y formuler le moindre contenu d’une façon acceptable pour tout entendement, tout raisonnement, ils seront par conséquent imparfaits. Ce récit navigue donc à travers le temps, le remonte ou en redescend, c’est selon l’air du vent, selon la manière dont on progresse.