(texte manuscrit – 19 sept. 2019 vers 16h15)

Précautions d’emploi et fumisterie (possible)
Connaissant la bête, celle dont nous allons vous parler, il convient en effet d’user de quelques précautions quant à l’usage de ce récit (il parle un peu d’elle en effet, il convient donc de s’en méfier).

D’abord, ne croyez pas tout ce qui y est dit (au-dedans). Ce n’est qu’une mémoire déversée, brute (sans peaufinement parfois, rêche et aride aussi, avec quelques douceurs toutefois). L’ouvrage pourtant sans cesse corrigé, des manquements, des erreurs, des stupidités, sûrement vous y trouverez. Soyez donc vigilants, et à toute allégation (surtout les plus péremptoires), n’hésitez pas à vérifier, à comparer ce qui se dit ici ou là (dans le récit et ailleurs aussi) !

Quant à la fumisterie éventuelle des protagonistes de ce récit (ceci), elle n’est pas avérée et ne vous croyez pas obligé à médire, ou le maudire, ce récit (cet écrit). Si vous y trouviez un mythe ou deux non démontés, c’est que l’on aurait oublié de le faire, car les mythes y sont dépeints comme d’infâmes histoires aux romans improbables, mais si près d’une réalité toutefois (peut-être aurez-vous à méditer ?)… Ceci représente donc un racontement pour voir comment ça fait l’écriture d’un sujet comme ça. Une expérience de la mémoire adjointe au reste, on y ajoute une trace en effet, ce que le récit décrit l’alourdit et le lest.

(ajouté le 3 févr. 2020 vers 14h25)
Ajoutons donc une trace à d’autres traces, ni plus ni moins, une mémoire à d’autres mémoires ; une souvenance de quelques faits d’un vivant ajoutée à d’autres souvenances, une expérience parmi d’autres expériences, dont la totalité s’additionne au reste sans un quelconque procès ni l’obligation de quoi que ce soit, une altérité bien consentie, cette différence propre à toute vie.