(parole entre deux sommeils – 27 oct. 2019 à 01h27)

—> quatrièmement, du robote à la chose, robote, supposition

Si nous concluons sur le dernier récit mémorisé, nous devons ajouter à ce que nous appelons « le robote » puis « la chose », la supposition d’une intervention d’un autre monde, pas forcément extraterrestre ; un monde parallèle qui observe et nous insinue (inocule) par petites touches quelques insinuations (inspirations)…
Pa ! Pa ! C’est pour vérifier la lumière si elle vibre, si elle vibre quand je crie fort ? C’est le cas ! (il parle de la machine enregistreuse)
Travailler sur le sujet, qu’il existe des mondes dont nous ignorons tout, où notre imagination fertile va nous emmener dans des croyances pas forcément subtiles, dans des mythes habituels, religiosités ou autres, d’une science parallèle ; de toute façon, des histoires, des racontements non vérifiables où nous (y) sommes quelque peu ballots, justement ! Ballottez ! Peut-être mieux, d’une idée à l’autre vers des extrêmes d’une pensée incontrôlée où les délires les plus violents peuvent survenir. Personne n’a la preuve de quoi que ce soit, on suppose, on s’imagine, on croit ressentir ? Le problème c’est que l’on croit trop, et que nous sommes tous inégaux vis-à-vis de ces perceptions d’un autre monde, d’un ailleurs qui se situe près de nous, mais dont nous ignorons (beaucoup)… Nous ne percevons la présence que d’une manière aléatoire, empirique, on s’imagine ! Il n’y a peut-être rien ? Dans tous les cas, on n’en sait rien, c’est ça le problème.