(parole entre deux sommeils – 24 oct. 2019 à 2h45)

—> quatrièmement, du robote à la chose, imaginez qu’on nous observe

(original)
Alors, imaginez ! Oui, imaginez ! Des entités non humaines, douées de réflexion, d’une certaine intelligence, n’étant pas visibles pour le commun des mortels, comme l’on dit, puisque n’ayant pas les dimensions et l’aspect esthétique de notre monde ; (elles seraient) sont venues observer que ce qui se passe sur cette planète, et décrient à leur manière dans leur compréhension, nos attitudes, sans s’émouvoir (constaterai ?) constatait tel ou tel fait. Eh, comme des sortes d’ethnologues (anthropologues, technologues), étudiant les espèces vivantes de cette planète, cherchèrent (dit-on) à communiquer à travers les langages usuels de chaque forme, tentaient donc de dialoguer, d’échanger des informations. Il fallait pour cela, apprendre le langage de chacun, le langage de l’oiseau, de la bactérie, du virus, et même de la forme que nous sommes, chacun à des attitudes, des perceptions, et des moyens d’expression qui sont les siens.
L’entité en question tentait de découvrir le monde tel qu’il était, sans le juger, qu’il soit bon ou mauvais (à priori), ou de toute manière qu’il (elle) pourrait estimer meilleure que l’usage que l’on fait des choses ici, à sa manière. Il (elle) n’était pas dans cette réflexion, car son monde n’était pas le nôtre et ne correspondait (probablement) en rien aux problèmes de notre planète. On ne savait pas d’où il (elle) venait. D’ailleurs, ils (ou elles) ne le disaient pas, peut-être était-il toujours là, mais nous ne les voyons pas ? Peut-être d’une manière dont nous ignorons tout, ont-ils atteint notre monde, venant d’un monde parallèle, où les réalités sont d’une autre forme que les nôtres. L’entité, est-elle une ou plusieurs, on ne sait ? On dit « l’entité » pour ce que l’on tente de décrire ici, mais ailleurs, on parle du truc, du machin, de la chose, qui pour cette dernière, la chose, a une fâcheuse habitude de fesser les hommes qui se comportent mal avec leurs semblables. En gros, les dictateurs, les usurpateurs, ceux qui d’une manière ou d’une autre s’avèrent pénibles (à supporter) pour la plupart (d’entre nous ?) à supporter, car ils ont des exigences à vouloir acquérir un pouvoir, afin d’avoir sous leurs ordres (domination) un peuple en son entier ; c’est une manie, ici, qu’ont certains. Alors la chose, le truc, le machin, eu l’idée de fesser ceux-là pour voir comment ils réagiraient, voir comment ça fait un homme, un usurpateur, fessé cul nu devant tout le monde, ooh ! Quelle honte devrait-il avoir ?
L’entité dont nous parlons, est-ce une réminiscence de la chose, on ne sait trop ? Une chose (réalité) est pour le moment certaine, c’est que… que ce soit la chose ou l’entité en question, ils ne nous sont pas visibles avec les sens habituels à notre portée. Nous n’avons au jour d’aujourd’hui, trouvé aucune machinerie pour les détecter d’une manière ou d’une autre, qui observe (observerait) les transparences, les formes, les présences, les mouvements de matières suspectes. Aucune de nos machineries ne permet pour l’instant d’en distinguer quoi que ce soit. Nous pourrions, tel le savant, vous décrire les différents modes opératoires qu’use l’entité en question, pour tenter de communiquer, d’acquérir un certain nombre de choses (d’éléments) que nous pourrions lui fournir. Certains disent que celle-ci aurait usée de subterfuges pour obtenir de certains, tout un discours qui s’apparente plus à une prophétie, une religiosité apparue, et tout un récit qui ne serait qu’une forme d’abus de perception, que l’entité en question aurait abusée des êtres que nous sommes à ce sujet-là. Voyant bien que nous étions la plupart d’entre nous, sujets à croire un peu (à) tout (à cause de notre besoin de certitudes, pour nous apaiser [c’est inhérent à notre espèce] la peur des lendemains), il suffit de nous convaincre ! Notre appétence à une croyance, quelle qu’elle soit, se produit par rapport à notre savoir et nos passions propres, nos certitudes, nos incertitudes, nos angoisses, tout cela nous pousse à croire à certains faits, que l’on peut considérer parfois comme des réalités, des vérités ; alors que la plupart du temps, il n’en est véritablement rien ! En effet, l’entité pourrait rétorquer que nous ne percevons toujours qu’une infime partie des choses et des réalités. Nous voyons l’univers à notre dimension propre, à notre échelle, nous ne considérons pas l’infiniment petit, et le très grand ; les deux extrêmes nous sont hors de portée. Nous les distinguons maladroitement, approximativement, nos machineries arrivent à distinguer certains aspects de chaque chose, mais on n’atteint pas la précision de notre propre échelle où tout se distingue sans problème, car notre entité propre a été conçue pour distinguer les choses qui nous environnent, dans la mesure… dans la mesure de nos capacités et de ce que nous avons acquis. On pourrait rétorquer que nous avons pour origine une forme unicellulaire infime, petite, invisible à l’œil nu, qui, en se propageant, se multipliant, a donné suite à des êtres multicellulaires qui à partir d’une certaine échelle sont visibles (à nos yeux), (et) correspondent aux êtres que nous sommes (des animaux parmi d’autres animaux, des plantes, beaucoup nous apparaissent visibles). Mais, il faut bien l’avouer, nous sommes fabriqués d’une multitude d’entités associées les unes aux autres, qu’on appelle la cellule vivante, et chacune de ces cellules possède en son sein quelques organes archaïques, des bactéries (les mitochondries) qui les commandent, en quelque sorte. Tout cela est établi d’une manière très astucieuse, depuis des milliards d’ans que la vie s’ingénia à concevoir des êtres sur cette planète, elle a eu le temps de concevoir des entités aux formes admirables, des plus grandes aux plus petites (des plus petites aux plus grandes), une diversité considérable. C’est pour cela (certainement) que l’entité que nous ignorons, tente de comprendre notre mécanisme, ou si ce n’est pas comprendre qu’il faut percevoir (concevoir), si cette question se pose, c’est qu’elle nous interpelle et que c’est en fait, qu’un moyen d’expression qui s’exprime à travers ma parole, vis-à-vis de l’entité en question. Dans ces suppositions, les possibilités sont énormes, et très vite nous pourrions dire que cela représente une quelconque science-fiction, une élaboration, une histoire qui nous dépasse grandement, et il est bien certain que tous les sujets de mystification qui sont à notre portée peuvent être exacerbés à travers la description d’une telle entité ; nous n’en savons rien de tout cela, c’est bien là le problème !

(version 2)
Alors, imaginez ! Oui, imaginez ! Des entités non humaines, douées d’analyse, d’une certaine intelligence, n’étant pas visibles pour le commun des mortels, comme l’on dit, puisque n’ayant pas les dimensions et l’aspect esthétique de notre monde ; elles seraient venues observer ce qui se passe sur cette planète, pour décrire à leur manière dans leur expression propre, nos attitudes et sans s’émouvoir constater tel ou tel fait. Eh, comme des sortes d’ethnologues (biologistes, anthropologues, technologues), étudiant les structures vivantes de cette planète, cherchèrent, pense-t-on, à communiquer avec tous en utilisant les langages usuels de chaque forme, à tenter donc de dialoguer, d’échanger des informations ! Il fallait pour cela apprendre le langage de chacun, le langage de l’oiseau, de la bactérie, du virus, et même de la forme que nous sommes, chacun à des attitudes, des perceptions, et des moyens d’expression qui ne sont qu’adaptation momentanée au milieu où l’on vit.
L’entité en question tenterait de découvrir le monde d’ici tel qu’il lui apparaît sans le juger ; qu’il soit bon ou mauvais ! De toute façon, qu’elle puisse estimer meilleur un acte ou un autre, ou juger du mode cohabitation de chacun, ici, n’était pas dans sa manière d’agir. Elle ne serait pas dans cette réflexion, car son monde n’est pas le nôtre et ne correspondait probablement en rien aux réalités de notre planète, on ne savait pas d’où elle venait. D’ailleurs, elle ne le disait pas, peut-être était-elle toujours là, mais nous ne la voyons pas ? Peut-être d’une manière dont nous ignorons tout, ces entités-là, ont-ils atteint notre monde, venant d’un monde parallèle, où les réalités sont d’une autre forme que les nôtres. L’entité, est-elle une ? Ou plusieurs, on ne sait ? On dit « l’entité » pour ce que l’on tente de décrire ici, mais ailleurs, on parle du truc, du machin, de la chose… pour cette dernière, la chose, le terme le plus fréquent pour la nommer, elle a une fâcheuse habitude de fesser les hommes qui se comportent mal avec leurs semblables ; ou si nous tentons d’adopter son résonnement : ils perturbent l’expérience en cours, la tentative de symbiose qu’elle semblerait rechercher sur cette planète. En gros, les dictateurs, les usurpateurs, ceux qui d’une manière ou d’une autre s’avèrent pénibles à supporter pour la plupart, car ils ont des exigences à vouloir acquérir un pouvoir, afin d’avoir sous leur domination un peuple en son entier ; c’est une manie, ici, qu’ont certains. Alors, la chose, le truc, le machin, se laissa inspirer par la venue de cette idée, de fesser ceux-là, pour voir comment ils réagiraient, véritablement. Voir comment ça fait un homme, un usurpateur fessé cul nu devant tout le monde, vraiment ? Ooh ! Quelle honte devrait-il avoir ?
L’entité dont nous parlons, est-ce une réminiscence de la chose, on ne sait trop ? Une réalité est pour le moment certaine, c’est que… que ce soit la chose ou l’entité en question, ils ne nous sont pas visibles avec les sens habituels à notre portée. Nous n’avons au jour d’aujourd’hui, trouvé aucune machinerie pour les détecter d’une manière ou d’une autre, qui observerait les transparences, les formes, les présences, les mouvements de matières suspectes. Aucune de nos machineries ne permet pour l’instant d’en distinguer quoi que ce soit. Nous pourrions, tel le savant, vous décrire les différents modes opératoires qu’use l’entité en question, pour tenter de communiquer, d’acquérir un certain nombre d’éléments que nous pourrions lui fournir. D’autres affirment que l’entité en question aurait usée de subterfuges pour obtenir de certains, tout un discours qui s’apparente plus à une prophétie, une religiosité apparue subrepticement et tout un récit allant avec ; cela ne serait qu’une forme d’abus de perception, elle aurait berné les êtres que nous sommes. À ce propos-là, voyant bien que nous étions la plupart d’entre nous, sujets à croire un peu à tout (à cause de notre besoin de certitudes, pour nous apaiser [c’est inhérent à notre espèce] la peur des lendemains), il suffit de nous convaincre ! Notre appétence à une croyance, quelle qu’elle soit, se produit par rapport à notre savoir et nos passions propres, nos certitudes, nos incertitudes, nos angoisses, tout cela nous pousse à croire à certains faits, que l’on peut considérer parfois comme des réalités, des vérités ; alors que la plupart du temps, il n’en est véritablement rien ! En effet, l’entité pourrait rétorquer que nous ne percevons toujours qu’une infime partie des choses et des réalités. Nous observons l’univers à notre dimension propre, à notre échelle, nous n’arrivons pas à appréhender l’infiniment petit et les vastitudes, ces deux extrêmes nous apparaissent hors de portée. Nous les distinguons maladroitement, approximativement, nos machineries arrivent à distinguer certains aspects de chaque chose, mais on n’atteint pas la précision de notre propre échelle où tout se distingue sans problème, car notre entité propre a été conçue pour distinguer les choses qui nous environnent, dans la mesure… dans la mesure de nos capacités et de ce que nous avons acquis. On pourrait rétorquer que nous avons pour origine une forme unicellulaire infime, petite, invisible à l’œil nu, en se propageant, se multipliant, a donné suite à des organismes multicellulaires d’une autre échelle ; visibles à nos yeux, ils sont analogues aux êtres que nous sommes, des animaux parmi d’autres animaux, comme des plantes, organismes multicellulaires comme nous, beaucoup nous apparaissent visibles. Mais, il faut bien l’avouer, nous sommes construits d’une multitude d’entités associées les unes aux autres, qu’on appelle la cellule vivante, et chacune de ces cellules possède en son sein quelques organismes bactériens archaïques (les mitochondries) fournissant des capacités énergétiques indispensables au bon fonctionnement de l’être multicellulaire, en quelque sorte. Tout cela est établi d’une manière très astucieuse, depuis des milliards d’ans que la vie s’ingénia à concevoir des êtres sur cette planète, elle a eu le temps de concevoir des entités aux formes admirables, des plus grandes aux plus petites (des plus petites aux plus grandes), une diversité considérable. Ce serait pour cela certainement, que l’entité que nous ignorons, tente de comprendre notre mécanisme, ou si ce n’est pas comprendre qu’il faut concevoir, si cette question se pose, c’est qu’elle nous interpelle et que c’est en fait, qu’un moyen d’expression qui s’exprime à travers ma parole, vis-à-vis de l’entité en question. Dans ces suppositions, les possibilités sont énormes, et très vite nous pourrions dire que cela représente une quelconque science-fiction, une élaboration, une histoire qui nous dépasse grandement, et il est bien certain que tous les sujets de mystification à notre portée peuvent être exacerbés à travers la description d’une telle entité ; nous n’en savons rien de tout cela, c’est bien là le problème !