(texte manuscrit – 24 août 2019 à 9h15)
—> 1. « İl », livre 3, 93. (de la cruauté)
Ce monde baigne dans un mal-être quotidien,
au-dedans, si vous avez un regard attentionné, y verrez de jeunes mâles tout autant en mal-être, qui, sous l’autorité d’un chef (le représentant d’une brutale religiosité), vont se permettre la moindre exaction pour leur (seul) plaisir cupide, afin de goûter à un pouvoir de maître éphémère, le temps d’une tuerie, juste le temps de disparaître (le temps d’un achèvement)…
Oublier de foutre la paix aux gens qu’ils embêtent (au bout une supplique)…
De vains propos, de vains mots et des gestes pas beaux. Une vérité leur pend au nez, ce sont eux, les authentiques salops ! Les empêcheurs de tourner en rond, les houspilleurs, les manants, les jean-foutre tonitruants, l’emmerdante teneur de ce monde où ces êtres vous font périr un peu plus vite ; ils vous harassent le cœur et puis le reste, avec leur ennuyante sollicitude ordurière, avec un dieu obséquieux, un prétexte où on leur dit « tu feras ce que tu veux », la puanteur au creux des yeux. Le dégoût, voilà ! Le dégoût, ils apportent cela. Mais ne te presse pas, à un moment, un vent ostensiblement accomplira toute une razzia d’eux ! Il n’en restera plus rien d’eux, sinon quelques ossements, les leurs, ainsi que leur turban (leurs coiffes enturbannées, casquées ou calotées), la peur (abattue) !