(parole en marchant – 13 avr. 2017 à 18h59)

—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit : le discours du récit

(ajout : cette parole-là, du moment, exprime comme un questionnement à propos du discours adopté à travers le récit global de l’ouvrage ; quelle force pousse tant le vivant à tant se raconter, quelle fable dans l’histoire n’était pas encore bien discernée ? Il manquait quelques « préalables » à découvrir…)

(récit original)

à ajouter

(version)

(à terminer correction)

Quant au discours, c’est à la fois un récit onirique, mais aussi une fable philosophique, et la narration est en grande partie poétique. Dans ma façon de mettre les mots, je rime (souvent) sans m’en apercevoir, où il y a un rythme, donc à la fois ce qui est important, le récit vous avez une narration de l’ordre de la fable, complètement, plus ou moins onirique, qu’est une fable philosophique, vous aurez le chapitre « philosophia vitae », c’est la philosophie de la vie, donc c’est le savant fou qui parle de la vie, et il parle en temps que vivant donc, il est de la vie qui fait de la philosophie, dont le terme, le titre « philosophie de la vie » ; donc vous trouvez ça à tout moment, et à la fois cette fable elle interpelle, elle ne cherche pas, si je cherchais à moraliser (je me tromperais), elle interpelle ! Elle donne la vie à un personnage, j’essaye que l’auteur, le narrateur, ne donne pas d’éléments moraux, il interpelle (aussi), il essaye, essaye d’interpeller et je ne suis pas sur d’y arriver à chaque fois. Et si je vois qu’il y a une erreur il faudrait que je corrige à ce niveau-là, mais le but est de créer une relation qui interpelle (toujours), qui regarde un aspect des choses, de ce que nous sommes et en regardant d’une autre façon, dans un autre angle ; du moins, c’est l’intuition que j’en ai, et la narration se situe toujours de cette manière-là, revoir les choses sous un biais différent toujours, alors c’est pareil, on y arrive, on n’arrive pas, mais on va vers cette tendance dans tout le récit, et le mélange d’éléments poétiques est aussi important puisqu’il est lié à l’onirisme d’une rêverie qui est fondamentale dans le discours, c’est pour ça que je ne peux pas être romancier, parce que je suis avant tout dans une narration poétique, dans un onirisme permanent, une ironie en plus ; souvent des éléments qui peuvent êtres blasphématoires, qui interpellent sur tout ce qui rituels, choses figées, on interpelle ces choses-là comme des éléments de mythologie, de religion, qui sont fixées dans le temps, et on met le poing (doigt) là où ça fait mal pour le mettre en évidence.