(parole en marchant – 22 févr. 2020 à 14h19)

—> 1. « İl », peregrinatio, péroraisons : 222. (liste des fins), fin ouverte (note)

Laissez peut-être, dans la fin du premièrement, une porte ouverte, avant le voyage, s’il se réalise un jour dans l’île magique ; peut-être où réside ce peuple innommé, on n’en sait rien ? Pouvoir dire à la fin, « c’est ici que se termine ma forme, mon aspect physique, qu’il se décomposera… »
Envisager cet aspect ! Mais il faudrait y aller pour le savoir, ou s’en aller sans peut-être y arriver, eh, dans cette finitude, je ne sais quelle fin donner ? Alors, laisser la fin ouverte à toute éventualité.
« Il repartit vers ce pays innommé, on ne sait ce qu’il va y trouver, il semblerait que ce fut bien le pays de ses origines, d’où il s’évada, il ne sait, il ne s’en rend pas compte vraiment, tout est envisageable. Alors, laissons toute éventualité se propager comme un champ de tous les possibles, laissons à la vie le soin d’en décider sur son sort inaccoutumé… »