note importante sur le récit
(texte électronisé, 1er sept. 2018 à 22h34)

—> brouillon de la notice finale :

Ce discernement ne fut pas bien défini au moment où il a été écrit, sa première annotation fut confuse et incertaine, après quelques ajouts, elle disait ceci :

(révision du 13 oct. 2018 à 9h30)

Bien distinguer les récits à la première personne :
« je » —> son regard à lui
des textes à la 3e personne :
« il » —> on parle de lui
ou d’une forme impersonnelle :
—> transposer si nécessaire en faveur de la première personne,
voir si garder une unité comme un recueil de notes divers du savant.

ou
Bien distinguer les récits à la première personne : « je » —> son regard à lui des textes à la 3e personne : « il » —> on parle de lui ou d’une forme impersonnelle : —> transposer si nécessaire en faveur de la première personne, voir si garder une unité comme un recueil de notes divers du savant ?

Il a fallu quelques ans de plus pour en donner un sens plus précis, et cela donna ceci :

(révision du 30 janv. 2021 vers 20h)

Dans le récit, « je » n’est pas bien défini ; le « il » du récit, est un sujet que la narration observe, ce peu être tout autant n’importe qui prenant des notes ou que l’on en amasse autant tout autour de lui ; au début, ce fut un vieux savant, un grincheux, puis un promeneur ventripotent, le naïf au grand air, l’animal hominidéen reluqué par des machineries diverses, l’Oiseau de passage, la rumeur des Arbres, des Moucherons suceurs, comme des particules aux discours élémentaires, le vent avec son drôle d’air, etc. ; peu importe à qui l’on s’adresse comme du sexe de l’animal, la nature varie sans cesse sur ce sujet, elle utilise d’ailleurs des robotes, fruit des inventions d’une de ses progénitures arrogantes, elle lui aurait suggéré de les construire…
Le personnage du récit est observé par une multitude, elle interagit avec lui de plus en plus, et parfois commente à sa place, c’est le fruit d’un concert au-dedans d’une tête, comme tout autour ; en dehors, le monde s’agite, influence le récit, additionne les mémoires, parle de cela, annote, biffe, rature, précise parfois de trop ou pas assez ; une partie du discours reste parfois au creux d’une cervelle ou d’un corps (il faudra deviner, la mémoire reste incertaine), peu importe lequel, on éprouve des choses temporelles et le temps apporté par le verbe s’y perd !